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Essai détaillé / Dacia Bigster Hybrid 155: Stronger, Better, Bigster ?

Rédigé par Frédéric Kevers le

Avec le Bigster, Dacia intègre un segment ultra-compétitif où les apparences sont souvent vendeuses. Dès lors, sa philosophie «low-cost» reste-t-elle pertinente? Et surtout, qu’apporte-t-il de plus qu’un Duster? Texte : Frédéric Kevers | Photos : Jonathan Godin

  • Avis Rédaction 14.90 /20

Reprenant les fondamentaux du nouveau Duster, il en conserve la planche de bord, qui arbore deux écrans numériques: un combiné d’instrumentation de 7’’ à l’affichage basique mais lisible, regroupant toutes les informations utiles, et un écran central tactile de 10,1’’ pour l’infodivertissement. Dans cette finition Journey, il dispose du système Media Nav Live de série (facturé 550 € sur la finition Expression), qui intègre la navigation et le système audio 3D Sound by Arkamys à six haut-parleurs. Plutôt réactive et dotée de menus bien pensés, l’interface regroupe la plupart des commandes, notamment celles des sièges, du volant et du pare-brise chauffants (Pack Hiver 1 à 500 €). Les autres réglages de climatisation bénéficient de commandes physiques, situées sous les aérateurs centraux.
La qualité des assemblages ne souffre pas la critique, et le style réussi de la planche de bord compense en partie l’aspect moins valorisant — atténué par un traitement graphique intelligent des surfaces — des plastiques durs omniprésents. À l’instar du Duster, les sièges sont joliment dessinés et offrent un confort correct, mais manquent de maintien. L’habitabilité progresse par rapport au Duster grâce à l’empattement allongé de 45 mm et une soute de 612 l, extensible à 1912 une fois la banquette rabattue, soit environ 300 l de plus que son petit frère (496/1609). On regrette cependant l’impossibilité de loger une grande bouteille dans les bacs de portières ou dans le porte-gobelet central.

Dans cet article : Dacia, Dacia Bigster

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