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Formule 1 / Formule 1 2023 – Ce qu’il faut savoir

Rédigé par Frédéric Kevers le 02-03-2023

Après un exercice 2022 archidominé par Red Bull et Max Verstappen, que nous réserve la Formule 1 en 2023 ? Voici ce qu’il faut savoir avant de se plonger dans la nouvelle saison.

La Formule 1 a inauguré une nouvelle réglementation en 2022 qui. Devait rebattre les cartes et permettre un spectacle de plus grande qualité grâce à des monoplaces pouvant se suivre de plus près. Certes Mercedes a mis un genou à terre et Red Bull a survolé les débats après la pause estivale. Mais les Ferrari furent de retour aux avant-postes et le reste du peloton s’est fortement resserré. Pour l’an deux de cette F1 nouvelle génération, à quoi doit-on s’attendre ?

Red Bull et Max Verstappen toujours favoris ?

Objectivement, les tenants du titre sont les principaux candidats à leur propre succession, tant au championnat Constructeurs que dans celui des Pilotes. Les essais hivernaux ont révélé une Red Bull RB19 plus efficace et rapide, que ce soit sur un tour ou sur de longs relais. Quant à Max Verstappen, certes il doit laisser le meilleur chrono des trois journées de tests à son équipier Sergio Pérez, mais le Néerlandais a confirmé qu’il restait bel et bien l’homme à battre. Et si le Mexicain a semblé plus à l’aise au volant de sa nouvelle monture, on le voit mal titiller son double champion du Monde d’équipier sur la durée d’une saison. Christian Horner ne le permettra pas quoi qu’il en soit.

Ferrari et Mercedes sont-ils les seuls outsiders ?

La Ferrari SF-75 était clairement la monoplace la plus véloce de la saison dernière en qualifications. Las, la seconde moitié de la saison avait laissé entrevoir des évolutions mettant à mal le rythme des bolides rouges en course. En y ajoutant les failles stratégiques, les erreurs des pilotes et une fiabilité imparfaite, les espoirs de titre(s) s’étaient évanouis. Pour 2023, la Scuderia a remis de l’ordre. Exit Mattia Binotto, bienvenue à Fred Vasseur. Le Français a d’ores et déjà remanié l’organigramme et promu un nouveau chef de la stratégie. Quant à la Ferrari SF-23, elle perfectionne le concept de sa devancière et devrait enfin pouvoir compter sur un groupe motopropulseur fiable et performant. Il faudra donc compter avec Charles Leclerc et Carlos Sainz. Mais le nouveau boss devra probablement faire un choix pour pouvoir viser le sacre des Pilotes.

Chez Mercedes, 2022 fut un long parcours du combattant. La Mercedes W13 et son concept « zéro ponton » ont donné du fil à retordre aux ingénieurs de la maison grise. Mais le concept a pourtant été conservé sur la Mercedes W14 qui profite des légers aménagements du règlement technique pour gommer ses problèmes de rebond si handicapant la saison passée. Suffisamment pour permettre à Lewis Hamilton et George Russel de se mesurer à Max Verstappen ? Sur certaines pistes, certainement, mais de là à l’envisager à chaque départ de grand-prix…

Qui sera la bonne surprise de 2023 ?

Au sortir des essais hivernaux, trois jours de roulage à Bahreïn, une quatrième équipe a révélé un fort potentiel : Aston Martin. Les monoplaces vertes ont profondément évolué depuis la fin de saison 2022 et semblent avoir trouvé leurs ailes, pour le plus grand plaisir d’un Fernando Alonso plus affamé que jamais. L’Espagnol a carrément déclaré qu’il viserait le podium dès la première épreuve, ce weekend des 4 et 5 mars sur le circuit de Sahkir à Bahreïn. Impressionnantes sur un tour comme sur les longs relais, les Aston Martin AMR23 pourraient donc être la bonne surprise de cette année !

Quelles nouveautés en F1 pour 2023 ?

Sur le plan technique, les F1 2023 ont vu la hauteur du diffuseur rehaussée de 15 mm tandis que la flexibilité tolérée du fond plat a été réduite pour lutter contre le phénomène de pompage ou « marsouinage » propre aux voitures à effet de sol. De même, les supports et dérives d’ailerons font l’objet d’adaptation pour éviter une complexification qui nuirait à la capacité de suivre une autre monoplace de près. Le poids minimum a été réduit de 3 kg tandis que l’arceau de sécurité doit désormais résister à des contraintes supérieures.

Les vraies nouveautés concernent donc les duos de pilotes dans certaines écuries et l’arrivée de trois rookies : Nick De Vries chez Alpha Tauri à la place de Pierre Gasly parti chez Alpine où il supplée le départ de Fernando Alonso chez Aston Martin, Oscar Piastri chez McLaren en remplacement de Daniel Ricciardo « rétrogradé » au rang de troisième pilote chez Red Bull et Logan Sargeant, l’Américain remplaçant le Canadien Nicholas Latifi chez Williams.

Quel avenir pour le Grand Prix de Belgique ?

En 2023, la Belgique figure toujours au calendrier de la Formule 1 qui comptera vingt-trois weekends de course, dont six qui comprendront une course Sprint le samedi, contre trois en 2021 et 2022. Le circuit de Spa fait partie des six tracés qui proposeront donc une course courte le samedi, avec Baku (Azerbaïdjan), Spielberg (Autriche), Losail (Qatar), Austin (États-Unis) et Interlagos (Brésil). Normalement, le rendez-vous belge n'est maintenu que pour cette année, mais Vanessa Maes, directrice du Grand Prix de Belgique s'est rendue à Bahreïn pour y défendre la candidature belge pour les saisons à venir, assurant que le circuit et l'épreuve répondent aux exigences de Liberty Media en termes de soutien politique, d'infrastructures et faisant valoir l'importance historique du tobogan des Ardennes en championnat du Monde de Formule 1.

Deux épreuves font leur entrée au calendrier avec le Grand Prix du Qatar – il s’agit en réalité d’un retour après une première édition en 2020 en pleine pandémie de covid-19 – et le Grand Prix de Las Vegas, troisième course américaine après Miami et Austin. La saison débutera le weekend des 4 et 5 mars à Bahreïn pour se terminer à Abu Dhabi le 26 novembre.

CALENDRIER

5 mars             GP de Bahreïn (Sakhir)

19 mars           GP d’Arabie saoudite (Djeddah)

2 avril              GP d’Australie (Melbourne)

30 avril                        GP d’Azerbaïdjan (Bakou)

7 mai               GP des États-Unis (Miami)

21 mai             GP d’Émilie-Romagne (Imola)

28 mai             GP de Monaco (Monte-Carlo)

4 juin               GP d’Espagne (Barcelone)

18 juin             GP du Canada (Montréal)

2 juillet            GP d’Autriche (Spielberg)

9 juillet            GP de Grande-Bretagne (Silverstone)

23 juillet          GP de Hongrie (Budapest)

30 juillet          GP de Belgique (Spa)

27 août           GP des Pays-Bas (Zandvoort)

3 septembre   GP d’Italie (Monza)

17 septembre GP de Singapour (Singapour)

24 septembre GP du Japon (Suzuka)

8 octobre        GP du Qatar (Losail)

22 octobre      GP des États-Unis (Austin)

29 octobre      GP du Mexique (Mexico City)

5 novembre    GP du Brésil (Sao Paulo)

18 novembre  GP des États-Unis (Las Vegas)

26 novembre  GP d’Abu Dhabi (Abu Dhabi)

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