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Essai détaillé / Citroën C5 Aircross Hybrid 145: L'âge adulte

Rédigé par Steven Appelmans le

Rondeurs et espiègleries ont disparu, place à un véhicule plus mature. Mais qu’en est-il du reste de cette deuxième génération de Citroën C5 Aircross? Le SUV français a-t-il aussi techniquement réussi le passage de la puberté? Texte: Steven Appelmans/L.B. | Photos: Dieter Paternoster

  • Avis Rédaction 16.60 /20

Qui se souvient encore des Citroën C-Crosser et C4 Aircross ? Deux clones des, respectivement, Mitsubishi Outlander et ASX. Développés à moindre coût, ils n’ont pourtant pas percé commercialement. L’original s’avérait, dans les deux cas, un peu meilleur et moins cher. En 2017, Citroën changeait de stratégie: sous la devise «jamais mieux servi que par soi-même», la marque reprenait conception et développement d’une nouvelle génération du SUV du segment C, devenu incroyablement important. Leçon bien apprise, car ce tout premier C5 Aircross tapait immédiatement dans le mille. Confortable, spacieux et – surtout – abordable: le Citroën cochait toutes les cases qui comptaient pour le grand public. Seul son look n’a pas été unanimement applaudi. Non pas que le C5 Aircross manque d’allure, mais ses «rondeurs façon Playmobi » (dixit notre collègue Xavier dans son Premier Essai du MA 1831) dégageaient une certaine espièglerie. Trop jovial, il ne dégageait pas immédiatement le sérieux nécessaire pour s’imposer face à des concurrents plus... frimeurs? À l’occasion de ce passage de génération,  Citroën a retenu la leçon: pour être crédible, il ne suffit plus d’être malin et abordable. Il faut aussi en imposer, dès le premier regard.
LE CONCEPT
«Sympathique» n’est effectivement plus le premier terme qui nous vient à l’esprit en contemplant la carrure de notre Hybrid 145. Les blocs optiques segmentés et fins, les passages de roues anguleux, le hayon massif, tout cela dégage une forme de robustesse que nous n’associons pas immédiatement à Citroën... mais qui correspond en revanche – et d’autant plus – à ce qui est généralement attendu dans le segment C. De ce point de vue, l’objectif semble déjà atteint. Cela ne veut d’ailleurs pas dire que les Français ont totalement abandonné leur singularité: ces feux arrière saillants (appelés Light Wings) apportent cette touche d’excentricité sur laquelle ils semblent avoir un brevet à Paris depuis un certain temps. Avec le clin d’œil à Star Wars – vous y voyez aussi un Star Fighter? – comme bonus (involontaire?).
Ce look plus mûr va de pair avec une croissance physique due à la plateforme STLA Medium, qui vient remplacer la base EMP2. Un châssis que le C5 Aircross partage avec ses cousins Stellantis: les Peugeot 3008 et 5008, Jeep Compass et Opel Grandland. La longueur totale progresse de 15 cm, dont 6 se situent entre les roues avant et arrière. C’est dire à quel point ces plus grandes proportions offrent aussi et surtout plus de place pour les passagers et les bagages.

  • Un excellent rapport qualité-prix
  • Un confort exceptionnel
  • Un look qui a gagné en sérieux
  • Un peu plus de «punch» aurait été bienvenu
  • Plus de sièges arrière individuels
  • Concurrence interne

Dans cet article : Citroën, Citroën C5 aircross

Journaliste AutoGids/AutoWereld

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