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Essai détaillé / Opel Frontera Hybrid 145: En expédition

Rédigé par Ken Divjak le

Avec la nouvelle Frontera, Opel explore un terrain inédit. Pas en repartant à l’assaut comme en 1992 avec la première génération, mais en lançant un modèle abordable à vocation familiale dans le segment B-SUV. Nous avons essayé la version (mild) hybride de 145 ch. Texte: Ken Divjak/X.D. | Photos: Julien Mahiels

  • Avis Rédaction 14.40 /20

Alfa Romeo le fait avec la Junior, Ford (entre autres) avec la Capri et Opel désormais avec la Frontera: recycler un ancien nom pour un modèle inédit. Ceux qui ont connu les années 90 se souviennent sans doute de la Frontera originelle, un vrai 4x4 crapahuteur avec sa gamme de rapports courts, disponible en 3 comme en 5 portes. Rien de tout cela ici: la nouvelle adopte une allure robuste, certes, mais reste avant tout un sage crossover accessible et familial. Et pourtant, elle se distingue des autres Opel issues du giron Peugeot (Corsa/208, Astra/308, Mokka/2008…), parce qu’elle reprend en fait… des gènes Citroën, signe qu’Opel veut surtout frapper par le prix. Bonne ou mauvaise nouvelle pour les fans du Blitz?

LE CONCEPT
La Frontera remplace la Crossland, mais si elle s’inscrit toujours dans le segment B, elle est nettement plus encombrante: +17 cm en longueur (4385 mm), +3 cm en hauteur (1795 mm) et + 6,6 cm d’empattement (2670 mm). Le coffre passe à une fourchette de 460 à 1600 litres, soit bien plus qu’auparavant. Et c’est logique puisqu’elle a les dimensions d’une Citroën C3 Aircross dont elle reprend d’ailleurs la base technique, c’est-à-dire la plateforme Smart Car, apte à recevoir des motorisations thermiques ou 100% électriques. D’ailleurs, elle existe aussi en 7 places (+ 800 €). Ce qui apparaît moins évident c’est que Stellantis positionne la Frontera comme un modèle budget, une première pour Opel. Cette stratégie l’oppose dès lors directement à la Dacia Duster, avec couleurs flashy et jantes acier blanches/noires. Mais notre exemplaire, noir uni, perd d’emblée en fantaisie visuelle. On sent la patte de Carlos Tavares, quand il était encore le patron du groupe: démarrage à clé classique, modes de conduite limités, vis apparentes dans la carrosserie. Et à l’intérieur, les plastiques durs et les teintes grises dominent. Sièges et volant chauffants, climatisation automatique: oui. Mais pas de réglage pour les essuie-glaces automatiques. Pour 24.750 €, il ne fallait sans doute pas rêver au bruit mat et rassurant d’une porte qui se ferme...

  • Prestations globales honorables
  • Disponibilité d’une version 7 places
  • Consommation maîtrisée
  • Finition un peu légère
  • Perte d’identité «Opel»
  • Lacunes d’équipements de série

Dans cet article : Opel, Opel Frontera

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