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Essai détaillé / Audi Q5 TFSI 150 kW Quattro: Évolutions ciblées

Rédigé par Xavier Daffe le

Sous peine de se faire distancer, aucun membre du trio premium allemand ne peut se relâcher dans cette lutte d’influence incessante. Cette fois, c’est au tour de l’Audi Q5 de troisième génération de prendre la relève de celle de 2017. Nouvelle plateforme, nouvelle technologie hybride, mais une ligne classique pour ne pas désorienter. La recette d’une compétitivité confirmée? Texte : Xavier Daffe | Photos : Julien Mahiëls

Prix
NC
  • Avis Rédaction 15.25 /20

Notre version disposait de la suspension pneumatique optionnelle, qui n’est disponible qu’avec la transmission intégrale quattro. Ce qui suppose un double supplément pour pouvoir en disposer. Est-elle nécessaire? Honnêtement, on n’a pas roulé avec la suspension de base, mais en l’occurrence, pour pouvoir prétendre à un statut premium, cette suspension à air paraît bien être un incontournable. Elle permet de jouer avec la hauteur de caisse, soit pour l’abaisser et faciliter le chargement d’objets lourds, soit pour l’augmenter en mode de conduite Offroad Plus, afin d’affronter des chemins dégradés. Cela ne fera jamais du Q5 un franchisseur, bien sûr, surtout avec ces pneus routiers et sportifs que sont les Michelin Pilot Sport aux flancs très bas, mais ça peut aider dans certaines circonstances. Au quotidien, elle a le mérite de filtrer efficacement les différentes déformations de notre réseau routier d’un autre âge, malgré les grandes jantes de 21’’ équipant notre exemplaire d’essai. Efficace en termes de liaisons au sol, la suspension pneumatique est en revanche incapable de museler les bruits de roulement, assez sensibles à la nature du revêtement, la portion d’autoroute entre Bruxelles et Liège, par exemple, en béton, étant en l’occurrence un test impitoyable. Et dire que la voiture était équipée du vitrage latéral avant isolant (à 230 €, pourquoi se priver?)...
En définitive, il en ressort une impression de grande sécurité, bien sûr: le rapport poids/puissance peu enjoué (204 ch pour près de 2 tonnes, rappelons-le...), la transmission quattro et les excellents Michelin s’associant pour garantir une motricité impossible à prendre en défaut. Mais quel que soit le mode de conduite sélectionné, on ne peut jamais parler de dynamisme: c’est propre, net, «bien dégagé derrière les oreilles», sain et sans surprise, mais jamais véritablement enthousiasmant. Est-ce grave? Bien sûr que non. Est-ce confortable? Hormis la remarque concernant les bruits de roulement, oui, sans aucun doute. Et c’est sans doute là l’essentiel.

Dans cet article : Audi, Audi Q5

Rédacteur en Chef Le Moniteur Automobile

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