Scoops / Renault Symbioz : l’hybride des familles

À ceux qui pensent que la mode des SUV est sur le déclin, détrompez-vous. Et ce n’est pas la gamme Renault qui démentira ce phénomène puisque le constructeur au losange va ajouter un SUV de plus à son offre avec le Renault Symbioz. Une appellation qui fait référence à l’ADN de la marque qui articule sa communication autour des « voitures à vivre ». Or, le mot symbiose signifie « vivre ensemble ». Tout un symbole que ce Symbioz ? L’avenir nous le dira. Plus prosaïquement, cet énième SUV compact vient compléter un vide laissé – selon Renault – entre le nouveau Scénic E-Tech electric et l’Austral E-Tech full hybrid. Le premier ne sera proposé qu’avec des motorisations exclusivement électriques tandis que le second aurait un placement orienté vers le premium qui ne le laisse pas à portée de toutes les bourses.

SUV compact et familial

L’offre de Renault dans le segment C comporte donc désormais cinq modèles différents dont quatre de type SUV, ces derniers affichant des formats qui se tiennent en 15 cm ! Mais pour quoi faire ? Si la Mégane (4,21 m) et le nouveau Scénic (4,47 m) sont exclusivement électriques et se situent dans une fourchette tarifaire haute, du côté des hybrides, le client aura donc le choix entre le Symbioz (4,41 m), l’Austral (4,51 m) et l’Arkana (4,56 m). Sur les images fournies, on devine un profil de « break surélevé ». Gageons qu’il s’agira d’une version SUV classique de l’Arkana appelée à succéder à la Mégane break.

Renault parle d’un SUV compact et familial en comparaison de l’Austral qui se veut premium et high tech. Soit. Le Symbioz sera doté d’une motorisation E-Tech full hybrid 145 (comme l’Arkana) et pèsera moins de 1500 kg tout en offrant « une habitabilité généreuse et un grand volume de chargement ». Le constructeur français reste très succinct quant aux détails sur ce nouveau modèle, précisant juste qu’il arborera le nouveau style de la marque et qu’il sera doté d’un toit vitré panoramique Solarbay de nouvelle génération sans velum grâce à la technologie PDLC qui lui permet de s’opacifier.