La Mercedes SLK de troisième génération garde les proportions du modèle actuel. La nouvelle calandre fait clairement référence à la SLS, tout comme les ouïes de ventilation du tableau de bord entièrement redessiné. Le roadster garde la technique du toit en dur. Toutefois, le coupé-cabriolet permet de s'offrir une option inédite pour une décapotable : un toit en verre dont l'intensité lumineuse peut varier. Ce « Magic Sky Control » passe de transparent à foncé via un bouton dans le cockpit.
La nouvelle SLK sera disponible avec trois configurations de suspension. De série, c'est l'architecture classique en acier. Pour un peu plus cher, on a droit à un amortissement plus ferme et plus sportif. Et en troisième possibilité, il y a le package « Dynamic Handling » avec contrôle et adaptation électroniques des amortisseurs. Dans ce cas, le roadster reçoit aussi la direction « Direct » à démultiplication variable et le « Torque Vectoring Brakes » freinant la roue à l'intérieur du virage pour assurer une prise de courbe dynamique mais stable.
La Mercedes SLK de nouvelle génération sera disponible à la commande dès le 17 janvier. Les motorisations proposées sont toutes BlueEfficiency avec Start&stop. La SLK 200 affiche 184 ch (135 kW). Avec ses 204 chevaux, la SLK 250 a droit d'office à la boîte auto 7G-Tronic Plus. En plus de ces deux quatre-cylindres, le catalogue propose un V6. La SLK 350 culmine à 306 ch (225 kW). Ainsi armée, la SLK passe de 0 à 100 km/h en 5,6 secondes.
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