Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Votre compte Facebook n'est pas lié à un compte sur notre site. Veuillez vous inscrire au préalable

Si vous venez de vous inscrire avec Facebook, merci de recharger la page dans quelques instants, le temps que votre inscription soit totalement activée.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Essai détaillé / Ford Puma Gen-E: À point nommé

Rédigé par Xavier Daffe le

Arrivant tardivement sur le marché du petit crossover urbain électrique, le Puma Gen-E matérialise les ambitions de Ford en matière d’électrification «accessible». Vu l’ensemble de ses qualités objectives, on peut dire qu’il a pris le temps de soigner son arrivée. Et au moins, lui, il est quasi «100% home made»! Texte: Xavier Daffe | Photos: Jonathan Godin

  • Avis Rédaction 15.61 /20

Mais si les Explorer et Capri sont des produits développés avec Volkswagen, à qui ils empruntent leur chaîne de traction, le Puma est 100% «home made», à part sa batterie haute tension en provenance d’un fournisseur coréen. Il est en effet construit sur la base de la plateforme des Puma thermiques (qui est aussi celle de feues les Fiesta), sur les chaînes roumaines de la marque, alors que son moteur électrique vient de l’usine Ford de Halewood, en Angleterre, qui assemble moteur, onduleur et transmission pour nombre de modèles Ford électriques en Europe. La version électrique du Puma reprend la plateforme thermique, dont on peut douter qu’à l’époque elle ait été pensée pour une déclinaison à batterie. En l’occurrence, celle-ci prend place dans le plancher, en débordant un peu par-dessous, ce qui limite la garde au sol, et un peu par le haut, ce qui rabote la garde au toit (voir chapitre BIENVENUE À BORD). Par ailleurs, la place disponible étant ce qu’elle est, la taille de la batterie était de facto limitée. Dès lors, sa capacité affiche un modeste 43,6 kWh (nets, contre 53 bruts, ce qui laisse apparaitre un delta étonnant entre les deux valeurs), un valeur modeste qui a priori peut passer pour un handicap. Un handicap relativisé dans la pratique par le fait que ce Puma peut consommer réellement peu (voir chapitre LES FINANCES) et par sa capacité de recharge, qui propose du 11 kW triphasé de série pour une recharge AC, et 100 kW sur une borne rapide DC. Petite batterie, donc, mais faible consommation et capacités de recharge intéressantes: le handicap initial n’en est plus un, d’autant que cette petite batterie pèse relativement peu, ce qui à son tour a un effet positif sur la consommation. D’où l’importance des choix technologiques dans la cohérence finale du produit. Installé à l’avant, d’où il entraîne les roues via une réduction unique, le moteur électrique de 168 ch et 290 Nm est suffisamment compact pour avoir permis de prévoir un petit frunk sous le capot, capable d’accueillir le câble de recharge, la trousse de secours, le triangle et autres babioles, qui, du coup, libèrent de l’espace dans le coffre. Il n’y a par ailleurs pas de choix de puissance ou de capacité de batterie: c’est d’office 168 ch et 43,6 kWh pour les deux versions, de base ou Premium comme notre exemplaire d’essai.

  • Version testée

  • ford Puma BEV Gen-E 43kWh 123kW Premium

  • Catégories

    • SUV & Crossovers

    Carburant

    • ELEC

    CO2

    -

    Puissance

    167 CV

    Dimension

    4214 m

    Volume Coffre

    523 à 1283 L

    Batterie électrique

    364 km - 13.7kWh/100km

    54 kWh - 11 kW (AC) - 100 kW (DC)

Dans cet article : Ford, Ford Puma

Rédacteur en Chef Le Moniteur Automobile

Essais

Nos essais

Avis

Derniers avis des propriétaires