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Essai détaillé / Mazda 6e 68,8 kWh: Mazda, tu pousses le bouton un peu loin !

Rédigé par Xavier Daffe le

Après de timides tentatives maison, Mazda s’adosse au Chinois Changan pour développer une berline 6e électrique. Mission: trouver sa place dans un segment en devenir qu’elle n’aurait pas pu occuper seule. Alors, cette 6e, le meilleur des deux mondes ? Texte : Xavier Daffe | Photos : Jonathan Godin

  • Avis Rédaction 15.78 /20

À bord, c’est le royaume du dépouillement visuel: très peu, voire pas de commandes physiques, tout passe par l’écran central tactile (voir encadré Connectivité). Mais les matériaux sont de qualité, les assemblages soignés et la qualité perçue de haut niveau. La position de conduite est excellente et le confort des sièges avant n’appelle aucune critique, celui du conducteur intégrant d’ailleurs un haut-parleur dans son appui-tête pour y recevoir les conversations téléphoniques lorsque le mode Private Call est activé. Les espaces de rangement sont nombreux et l’habitabilité satisfaisante à toutes les places, y compris derrière des occupants avant de 1,85 m. Seule la garde au toit arrière pourrait poser des problèmes aux plus grands gabarits vu le profil de fastback de la 6e. Mais il y a de la marge. L’absence de «tunnel de transmission» (et pour cause) rend la place centrale arrière, quoique un peu étroite, utilisable pour un dépannage mais la banquette manque légèrement de maintien au niveau des cuisses pour assurer un confort total. Vu les plus de 4,90 m de l’engin, on se serait par ailleurs attendu à un volume de coffre un peu plus généreux. Il faut dire que le plancher est assez haut, ce qui limite le volume sous le cache-bagages à environ 336 l, 466 jusqu’au plafond et 1.074 une fois les dossiers de banquette 60/40 rabattus, l’assise restant fixe. Mais il faut savoir que la 6e dispose d’un vrai frunk à l’avant, capable d’engloutir 72 l, c’est-à-dire bien plus que les simples câbles de recharge. Voilà qui relativise la remarque concernant le volume de coffre. Le profil de coupé (accentué par les portes sans encadrement) n’est en outre pas étranger à la rétrovision perfectible dans le rétroviseur intérieur du fait de la faible hauteur de la lunette arrière, une visibilité encore entravée lorsque l’aileron mobile est déployé. À noter aussi que derrière le bouclier avant se cache un haut-parleur permettant d’écouter de la musique à l’extérieur. Utile le temps d’un pique-nique lors d’une recharge?

Dans cet article : Mazda, Mazda Mazda6

Rédacteur en Chef Le Moniteur Automobile

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