Nissan, Renault et Mitsubishi vont donc partager les architectures de leurs futurs véhicules électriques. Le but est évident : réduire les coûts de développement de ces modèles, une information rapportée par le très sérieux journal japonais Nikkei. Cette décision fait évidemment suite au rachat du japonais par l'Alliance.
Moteurs, onduleurs et batteries
Car il est évident que l'alliance Nissan/Renault travaille depuis belle lurette sur ces technologies électriques et que leur élargissement à davantage de modèles aurait une influence positive sur les coûts de revient. Aussi le journal japonais Nikkei croit savoir que les départements d'ingénierie et de développement des trois marques vont travailler ensemble pour rationaliser la production de pièces en ce compris les moteurs, les onduleurs (qui transforment le courant alternatif en courant continu) et les batteries.
Compression des coûts
Ce partage aurait l’avantage de réduire le prix d'achat de chaque modèle, ce qui devrait aider Carlos Ghosn à atteindre son objectif avoué d’arriver à produire une voiture électrique au même coût de revient d’une voiture thermique.
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