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Premier essai / BMW X1

Après le X3, BMW coiffe une nouvelle fois Audi et Mercedes sur le poteau avec le X1. Un modèle qui pose de nouveaux jalons en matière d'agilité et d'agrément de conduite.

Prix
NC

Au contraire de ce que suggère l'appellation X1, le petit dernier de BMW n'est pas dérivé de la Série 1, mais bien de la Série 3 et plus particulièrement de la 3 Touring à 4 roues motrices, dont il emprunte l'essentiel des techniques. Cela dit, à Munich, les automobiles procèdent rarement du recyclage élémentaire. Pour satisfaire à l'ambitieux cahier des charges, les metteurs au point ont évidemment dû revoir en profondeur les éléments de la «3».

Chez BMW, le coeur des produits «X», c'est bien évidemment leur transmission intégrale, un embrayage multidisque piloté, qui se caractérise ici par une répartition statique du couple avant/arrière inédite de 30/70. Le X1 reste à l'aise sur une piste roulante, mais il n'a rien d'un acrobate, une réflexion que corroborent d'ailleurs sa garde au sol limitée (194 mm) et l'unique aide électronique disponible pour les terrains accidentés (le contrôle de vitesse en descente, programmable de 9 à 30 km/h).

Brièvement essayé dans les coins reculés de l'île de Majorque, le X1 nous a d'emblée fait excellente impression, notamment avec sa transmission intégrale permanente associée au Performance Control (freine la roue arrière intérieure au virage) qui lui confère une agilité encore inconnue à ce jour dans la catégorie des SUV. Celui-ci se transforme en un redoutable négociant en virages, où il profite de sa répartition privilégiant fortement l'essieu arrière pour pivoter dans les courbes avec l'efficacité d'un petit diable. Du jamais vu! Pour peu que l'on puisse juger au terme d'un parcours de 20 km, la suspension nous a par ailleurs semblé plutôt filtrante, mais aussi plus ferme que celle d'une Série 3.

Venu au SUV par effet de mode avec le X5 en 1999, BMW est finalement devenu l'un des grands spécialistes du genre, au point de nous signer aujourd'hui les meilleures réalisations qui soient en matière de comportement routier et d'agrément de conduite. Avec le X1, le constructeur munichois enfonce à nouveau le clou. Et quel clou! Non content de coller à la tendance du politiquement correct qui exige des véhicules plus compacts, le X1 fixe de nouveaux repères dans le domaine des qualités routières.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1447 du 10 juin 2009.

Dans cet article : BMW, BMW X1

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