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Essai détaillé / Mercedes CLA 250+: Championne des autoroutes

Rédigé par Frédéric Kevers le

Avec la CLA électrique, Mercedes se donne les moyens d’effacer les ratés de la première génération de modèles EQ. Nouvelle plateforme, nouvelle architecture et nouvelles ambitions suffisent-elles à rendre son lustre à l’étoile branchée? Texte : Frédéric Kevers | Photos : Julien Mahiels

  • Avis Rédaction 15.65 /20

De l’extérieur, l’air de famille avec la génération précédente est inné. Il en va tout autrement une fois que l’on pénètre dans l’habitacle. D’abord en termes de qualité, avec un mieux indubitable, tant au niveau des matériaux choisis que de la finition globale, bien plus digne du label premium. Il subsiste bien quelques plastiques durs, mais ils ne sonnent plus creux et semblent faits pour durer. Bien dessinés, les sièges sport à l’avant combinent confort et maintien, tout en offrant des réglages amples qui s’adaptent à toutes les morphologies. Agréable en mains, le volant l’est aussi à l’œil, mais pèche par des commandes haptiques toujours moins pratiques que de simples boutons et roulettes analogiques. Ces dernières ont d’ailleurs totalement disparu, puisque l’immense majorité des fonctionnalités et commandes passent par l’écran central. Ces dernières voient leur nombre réduit drastiquement au point qu’on le regretterait presque, d’autant plus que l’intuitivité n’est pas toujours de mise.
Selon Mercedes, l’empattement majoré profite principalement aux passagers avant. Si chacun trouvera ses aises au premier rang, il en ira tout autrement au second. Intrinsèquement, la place aux genoux ne manque pas, mais le plancher surélevé impose à ces derniers une position à la fois trop haute et trop pliée, qui peut s’avérer inconfortable sur la durée. Un écueil qui s’explique aussi par le dessin de la banquette, dont l’assise a volontairement été placée au plus bas pour maximiser la garde au toit. Un sens du compromis qui prévaut également pour les aspects pratiques. Moins volumineux de 55 l, le coffre reste logeable, mais pèche par un accès limité en l’absence de hayon. Heureusement, le frunk de 101 l compense intelligemment cette lacune, contrairement à la boîte à gants, particulièrement chiche!

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