Cette confrontation ne nous donne ni vrai vainqueur ni vrai perdant… Alors, que retenir? Tout d’abord que le GLC 250d – et, plus largement, le SUV Diesel de bon gabarit – reste un engin tout à fait valable pour qui envisage davantage l’agrément au quotidien que l’écobilan ou la fiscalité. De même, si nous avons franchement apprécié les petits trajets en ville, en silence, au seul chuintement du moteur électrique au volant du GLC 350e, nous y avons moins trouvé notre compte en utilisation hybride (réponse parfois brouillonne, poids…) en nous éloignant des agglomérations. SUV ou pas, chaque engin garde donc son biotope… même si les activistes (pseudo-)verts ou les fiscalistes s’échinent à nous faire gober le contraire!
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz GLC