Une pincée de Manga et tous les critères nécessaires aux déductions fiscales (3,40 m et 660 cm³) : les kei-cars sont un phénomène au Japon. Les concessions nipponnes de Toyota proposent dorénavant la Pixis Joy pour ce segment particulier. Le constructeur a d’ailleurs été aidé au sein du groupe par Daihatsu, spécialiste de la question.
C – F – S
La petite citadine de 55 ch, voire 63 ch, avec transmission à variation continue (boîte CVT), se décline en 3 variantes disposant chacune de boucliers, finitions, couleurs et garnitures spécifiques.
- La Pixis Joy C est la déclinaison « crossover » pour arpenter les avenue tokyoïtes, tout autant que l’arrière-pays du Mont Fuji en 4 roues motrices.
- La Pixis Joy F joue plutôt sur le côté glamour avec une calandre pailletée pour flâner à Kyoto ou se rendre au théâtre Kabuki.
- La Pixis Joy S est la « sportive » du lot car elle a droit aux 63 ch, même si elle sera franchement un peu juste sur la piste du circuit de Suzuka.
Aussi sympathiques soient-elles, ces voitures resteront cantonnées au marché japonais avec très peu de chance d’exportation en dehors de l’archipel.