Lifestyle / Top des courses poursuite ciné à Paris

Ronin

Le réalisateur John Frankenheimer étant passionné d’automobile, il a tenu à monter la bande sonore avec le bruit réel des véhicules. Il a aussi banni les trucages. Tout a été tourné en direct avec des pilotes professionnels au volant. Lesquels n’ont pas hésiter à rouler à 160 km/h dans le tunnel de Halles. Dans cette scène, plus de 300 voitures ont été utilisées

La Mémoire dans la Peau

Une poursuite avec la police de Paris en Mini classique. Cette scène automobile utilise les ficelles classiques : descente d’escalier, bris de glace, conduite sur trottoir et voie prise à contresens. Et des policiers moins habiles que le héros Jason Bourne.

Le Marginal

Belmondo et les cascades de Remy Julienne : tout un programme. Ici, l’inspecteur Jordan pilote une Ford Mustang Luxury de 1967. Cette scène est un hommage à la célèbre course poursuite de Bullitt et à Steve McQueen. Attention : sur l’extrait ci-dessous, ce n’est pas la bande son originale. Nous n’avons pas trouvé la scène telle que présentée dans le film.

C’était un rendez-vous

Pas de course poursuite ici, mais une traversée de Paris tambour battant. Il est 5h30 du matin en août 1976. La ville Lumière est quasi déserte. Claude Lelouch, accompagné du chef opérateur Jacques Lefrançois et du chef machiniste Henri Querol, lance une Mercedes-Benz 450SEL au V8 de 6.9 l à plus de 140 km/h sur le rond-point de la porte Dauphine pour une virée mémorable, sans autorisations de la préfecture. Pour le dynamisme, la bande sonore est celle d’un V12 de Ferrari 275 GTB.

Dangereusement vôtre

James Bond et les voitures. Il a enrichi des milliers de ferrailleurs et ici c’est à Paris qu’il détruira une pauvre Renault 11 TSE Electronic. Originalité : il descend un escalier en marche arrière. Il y a également le classique renversement d’étal, le saut, le décapotage express et la réduction de moitié de la traction. Notez que voir un taxi attendre sur le parvis sous le Tour Eiffel n’est vraiment plus possible de nos jours.