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Essai détaillé / Volvo XC90 T6 & D5

Rédigé par Bert Troubleyn le

Le champion du break se met au sport-utilitaire. Sans renier un seul des principes sécuritaires qui font de lui un acteur de premier plan.

Ni réductrice, ni suspension à air réglable, ni verrouillage de différentiels, ni contrôle de stabilité en descente (HDC);Volvo balaie les arguments de la concurrence, qu'il considère comme gadgétisants ou, à tout le moins, toujours sous-utilisés. Le constructeur suédois leur oppose les siens, plus forts et, en tout cas, jamais futiles puisqu'ils gravitent autour de la sécurité. Le plaisir de conduire une Volvo, c'est d'abord le sentiment de le faire en toute sérénité. C'est aussi renoncer à la course à la puissance et à la cylindrée. Quitte à se mettre un peu hors du rang des automobilistes qui veulent faire joujou. La maxime est vraie pour les berlines et les breaks. Elle se vérifie pour le XC 90, qui dispose du même système de transmission intégrale AWD transparent de simplicité et d'efficacité (sur la neige et le verglas). Mais il s'en singularise – c'est là l'eau qu'il apporte au moulin des SUV – pour avoir adapté son aide à la conduite DSTC aux risques spécifiquement encourus par un 4x4 massif (haut et pesant). Car Volvo ne pouvait raisonnablement pas entrer dans ce monde sans atténuer certaines de ses tares. Notamment la propension au retournement (le RSC, le ROPS avec déclenchement préventif des rideaux plus le toit renforcé) ou la probabilité de voir une voiture traditionnelle s'encastrer sous lui en cas de choc (zone d'absorption frontale surbaissée). On comprend mieux l'accueil que lui ont réservé les Américaines et les Américains. Mais aussi la presse: il vient d'être élu North American Truck Of the Year. Au grand dam des nostalgiques du 4x4 macho, concept fatigué sans cesse réinventé sur un châssis de camion avec son essieu rigide et sa grosse boule. Et Volvo d'augmenter la production de 50.000 à 60.000 unités l'an. Que l'Européen frivole suive ou non.

Dans cet article : Volvo, Volvo XC90

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