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Essai détaillé / Nissan Leaf 2018 40 kWh : L’électrique bien née

En bref

  • La dynamique

    Le moteur a nettement gagné en puissance, ce qui exerce une influence positive sur les performances. L'arrivée de l'e-pedal permet de conduire la voiture en mode «purement électrique» bien mieux que par le passé. Il suffit d'agir sur l'accélérateur pour accélérer et ralentir, ce qui est très confortable et diminue l'usure, tout en récupérant de l'énergie. Le volant à assistance électrique tombe bien sous la main, mais son rendu s'avère un peu trop artificiel.

  • Sécurité

    Tous les aides à la conduite sont disponibles, y compris le ProPilot et l'aide au parking (sur la version la plus onéreuse). La visibilité vers l'arrière et de trois quarts arrière laisse à désirer, mais l'éclairage ne souffre pas la critique. En matière de dispositifs de sécurité passive, la Leaf est bien pourvue, mais n'a pas encore été testée par l'Euro-NCAP. L'ancienne avait décroché 5 étoiles, mais selon les critères moins stricts en vigueur en 2012.

  • Confort

    La suspension est plus ferme et moins confortable. A l'avant, on est bien assis, mais on manque de soutien latéral. A l'arrière, la banquette est assez dure et l'habitabilité guère généreuse, en partie du fait de la hauteur du plancher. L'insonorisation est soignée; tant mieux, car avec un moteur silencieux, on prête attention aux bruits. Ventilation et clim’ fonctionnent bien, mais nuisent à l'autonomie. Mieux vaut prérégler la température intérieure lorsque l’auto est en charge.

  • Sens pratique

    La Leaf est une moyenne compacte plutôt pratique. Si l'accès à l'avant est aisé, les portes sont plus étroites à l'arrière. Le seuil de chargement est relativement élevé, mais le coffre a grandi. Dommage que, banquette rabattue, une «marche» complique le chargement d'objets longs. La finition peut être qualifiée de plutôt soignée, mais Nissan aurait pu apporter plus de soin au choix de ses plastiques et des coloris intérieurs, pour conférer davantage de classe à l'habitacle.

  • La connectivité

    La Leaf a été remise au goût du jour, surtout sur les versions les plus huppées, où tout se commande via le grand écran tactile. A côté des éléments classiques de connectivité contemporains, elle offre bien sûr des applications spécifiques destinées à faciliter la vie du conducteur de voiture électrique et à réduire son stress (trop peu de bornes de recharge en Belgique…). L'organisation des menus et les commandes auraient pu être simplifiées encore davantage.

  • Budget

    Chapitre délicat pour les électriques, toujours en raison du prix des batteries, dont la capacité ne cesse d'augmenter. L'autonomie a donc progressé, mais à 225 km réels, elle est moins confortable que les chiffres normalisés le font supposer. La Leaf est plutôt bien équipée et le prix des options n'apparaît pas exagéré. Nissan offre une garantie globale de 3 ans ou 100.000 km, et davantage sur la batterie. La cote des voitures électriques d'occasion est en train de monter.

Nissan Leaf 2018 40 kWh : L’électrique bien née
Conclusion / Nissan Leaf 2018 40 kWh : L’électrique bien née

La Nissan Leaf de deuxième génération apporte d'importants progrès par rapport à la première du nom. Mais l’originalité y a perdu, le constructeur ayant prêté l'oreille aux doléances de sa clientèle électrique de la première heure. La Leaf a pour principales qualités son confort d'utilisation, son silence de fonctionnement, sa tenue de route saine et gratifiante, ses nombreuses aides à la conduite dernier cri ainsi que ses faibles coûts d'utilisation qui devraient aider à faire passer la pilule du prix d'achat élevé, surtout à Bruxelles et en Wallonie. Le nouveau moteur, beaucoup plus puissant, apporte de meilleures performances, mais aussi, hélas, une consommation plus importante, ce qui n'est pas sans influence sur l'autonomie réelle. Au chapitre des regrets, on mentionnera une habitabilité à l’arrière un peu décevante et un coffre certes spacieux, mais pas facile à exploiter par la faute d'un seuil de chargement élevé et de la «marche» importante lorsque la banquette est repliée. On déplorera aussi un confort de suspension un peu sautillant, du moins sur les mauvaises routes belges.

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