Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Essai détaillé / Toyota C-HR 2.0 Hybrid: Vraiment Belge, une fois?

Rédigé par Benoît Lays le

Si la publicité vante le design belge du nouveau C-HR, c’est pourtant toute la voiture qui a été conçue en Belgique, au centre européen Toyota situé à Zaventem. A notre tour, nous l’avons confronté au réseau routier belge sur près de 1.000 kilomètres. Texte : Benoît Lays | Photos : Jonathan Godin

  • Avis Rédaction 14.70 /20

Si les places avant sont particulièrement accueillantes, il n’en va pas de même à l’arrière à cause d’un accès réduit engendré par le design particulier des portes, même si on apprécie la position désormais traditionnelle des poignées, ce qui n’était pas le cas sur l’ancienne génération. Dans les versions les mieux équipées, le siège du conducteur recule automatiquement lorsqu’on éteint le moteur ce qui réduit d’autant l’accès du passager arrière. La garde au toit n’est pas non plus extraordinaire et le toit panoramique n’améliore pas la situation. A l’avant, le conducteur profite des superbes sièges de la finition GR qui donnent envie de rouler fort pour mieux profiter de leur soutien exemplaire, mais ce sont à nouveau les passagers arrière qui pesteront du manque de visibilité vers l’avant qu’ils imposent. Certains seront heureux d’apprendre que ce nouveau C-HR utilise deux fois plus de plastiques recyclés que le premier du nom. On peut regretter la présence de quelques plastiques durs peu dignes des tarifs mais la qualité d’ensemble est bonne et l’assemblage du mobilier ne donne pas lieu à la critique. De nombreux détails révèlent un soin particulier dans leur dessin à l’image des ouïes de ventilation ou des coins supérieurs de la planche de bord. On regrettera néanmoins que ce mobilier soit si sombre. Et ce ne sont pas les surpiqûres colorées de la sellerie de cette version Première Edition qui parviendront seules à égayer l’habitacle. Au rayon des volumes utiles, le coffre propose une capacité inférieure à celle de la concurrence et il doit composer avec rebord important entre le seuil et le plancher. La version 1.8 présente un coffre un peu plus grand que la 2.0, avec 388 litres contre 364 pour notre modèle d’essai. Il n’y a pas de banquette coulissante mais les dossiers sont rabattables en deux parties (60/40).

Dans cet article : Toyota, Toyota C-HR

NE MANQUEZ RIEN DE l’ACTU AUTO!
Derniers modèles, tests, conseils, évènements exclusifs! C’est gratuit!

Je m’inscris

Essais

Nos essais

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une