Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Mobilité / ÉLECTIONS 2019 : Vu de Flandre

Il est étonnant de constater à quel point pratiquement tous les partis flamands sont confrontés aux mêmes problèmes dans leur analyse de la mobilité. Les trois piliers qui doivent être travaillés sont en effet les mêmes pour tous les partis : lutter contre les embouteillages, développer les transports publics et l'infrastructure pour la « mobilité douce » et notamment les cyclistes.

Naturellement, les divergences apparaissent dans les solutions proposées. Sur l’axe, gauche/droite traditionnel, ce sont les partis de droite (qui ont cogouverné ces dernières années) qui plaident pour une mobilité multimodale dans laquelle la voiture ne sera évidemment pas oubliée. Pour eux, il faut améliorer la qualité du réseau routier et investir dans les tronçons qui manquent encore. Et en ce qui concerne l’épineux sujet des voitures de société, il ne faut pas y toucher, sauf à long terme par le biais de leur élimination, mais très progressive. Car les voitures de société sont aussi vues comme un moyen rapide de verdir le parc automobile belge. La gauche a une vision politique plus verte où l’accent est clairement mis sur les investissements pour les transports en commun. Certains partis (de gauche) en profitent évidemment pour pointer du doigt la coalition précédente, accusée de ne pas avoir assez investi. Globalement, les transports publics devraient être plus efficaces, plus accessibles et plus sûrs, voire gratuits pour certains.

Conséquence du revirement du ministre de la Mobilité, Ben Weyts (NV-A), la tarification routière au kilomètre prévue pour 2024 a été reportée. L’idée reste intéressante – elle est soutenue par l’Europe –, mais personne n'ose la promouvoir, car les automobilistes paieront clairement plus cher qu’aujourd’hui, ce qui est d’ailleurs l’objectif si on veut réduire les embouteillages. Cela dit, tous les partis sont conscients du fait que ce genre de mesure doit être concertée et donc que la décision doit être prise au niveau fédéral, voire même européen, sauf pour les partis plus « confédéralistes » comme la NV-A et même le CD&V qui évoquent le principe de subsidiarité dans la législation. Autrement dit : les décisions doivent être prises au niveau de pouvoir le plus apte à prendre les mesures.

Recevoir le dossier complet >>

NE MANQUEZ RIEN DE l’ACTU AUTO!
Derniers modèles, tests, conseils, évènements exclusifs! C’est gratuit!

Je m’inscris

Actus

Dernières actualités recommandées