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Premier essai / Range Rover Evoque eD4

Parce qu'il faut parfois savoir renoncer à la tradition pour mieux traverser les époques, voici le premier Range Rover à deux roues motrices.

Prix
NC

Rien qu'en l'observant, on pouvait déjà se douter que l'engin original ne serait pas le plus gros touilleur de bourbier de la gamme. Cette fois, on en est sûr. Du moins dans cette version baptisée eD4. Fini le module de transfert, l'arbre central de transmission, le différentiel arrière et les arbres secondaires, le 2.2 Diesel de l'Evoque n'est plus connecté qu'aux seules roues avant. Au passage, il a maigri de 75 kg (affichant désormais 1.595 kg à vide sur la balance en version Coupé) et se positionne du coup comme l'engin le plus écologico-économique de la gamme Land Rover avec des émissions de CO2 contenues officiellement à 129 g/km (133 en 5 portes). Pas mal pour un Range !

L'Evoque eD4 conserve un comportement équilibré. Pas plus sous-vireur à la limite que son homologue à transmission intégrale, il fait même preuve d'une agilité légèrement supérieure dans les virages serrés. En conduite dynamique, on ressent donc moins d'inertie dans le châssis au cours des changements d'appuis, tandis que la stabilité en courbe reste l'une des plus rigoureuses de la catégorie. Sur un bitume gras ou glissant, deux roues motrices ne transmettent jamais le couple comme quatre, mais après quelques tests poussés à son volant, on peut affirmer que les ingénieurs ont fait du bon boulot.

Assurément, le Range Rover Evoque eD4 n'est pas celui des vrais baroudeurs. Mais il garde un comportement sûr, voire enjoué à l'occasion, tout en ne perdant rien de sa personnalité. Et puis 4,9 l/100 km (annoncés) avec un Range, il y a de quoi rester bouche bée, non ?

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1514 du 7 janvier 2012.

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