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Premier essai / BMW M3

Rédigé par Bert Troubleyn le

A 21 ans révolus, la BMW M3fait sienne la silhouette du nouveau coupé qui, du coup, se galbe de turgescences stéroïdiennes. Si la plus sportive des Série 3 entre dans sa 4e génération en prenant de la bouteille, c'est d'abord parce qu'elle découvre les d

Certes, ses performances sortent d'un autre tonneau: la M3 colle près d'une seconde dans la vue à sa devancière (23,3 s contre 24,2) au kilomètre arrêté. Ou abat le 0 à 100 en 4,8 s contre 5,2 pour celle qu'elle remplace avec 95 kg d'embonpoint. Alors que le V8 est plus léger que le 6 cylindres en ligne... Preuve que suréquipement et goût du luxe ont primé, les gadgets de confort passant avant la démarche purement sportive, dont l'esprit aurait dû prescrire à BMW M GmbH d'être plus regardant sur l'étagement des
deux premiers rapports de boîte et sur la tenue du freinage en effort prolongé. Des enfantillages d'adulte. Donc, par définition, faciles à surmonter (la «7 vitesses» robotisée, c'est pour bientôt) ou, en tout cas, peu susceptibles de pousser ses inconditionnels à la déconsidérer.

Dans cet article : BMW, BMW Série 3

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