Essai détaillé / BMW 530e iPerformance : bien dans son époque
Signe des temps: avant de penser à exister en «M», la dernière génération de Série 5 s’offre l’étiquette iPerformance, synonyme d’hybride rechargeable. De quoi attirer la clientèle professionnelle avec une homologation CO2 plancher en guise d’appât fiscal?
- Avis Rédaction 16.24 /20
Si la précédente génération de Série 5 avait déjà tenté une première incursion dans l’univers de l’électromobilité, cette ActiveHybrid se contentait d’un taux d’hybridation quasiment anecdotique: 6 cylindres 3.0 à essence de 306 ch pour la partie thermique, 55 ch et batterie de 1,3 kWh pour la partie électrique. Venant compléter la nouvelle famille hybride rechargeable, étiquetée iPerformance, qui compte dorénavant 6 membres en incluant le X1 réservé au marché chinois, la Série 5 n’entend plus laisser sa partie électrique cantonnée dans le simple rôle de figuration. Intercalée entre les 330e iPerformance et 740e iPerformance, la 530e du même nom reprend à son compte le 4 cylindres thermique de la première (2.0 turbo à essence de 184 ch) et la partie électrique de la seconde (113 ch et batterie de 9,2 kWh). Mieux: la BMW Série 5 sera la première Béhème rechargeable à libérer son conducteur de la contrainte… de la recharge! Du moins physique: dès l’année prochaine, l’option recharge par induction s’ajoutera au catalogue.
- Hybridation réussie
- Performances soutenues
- Confort global
- Finition soignée, équipement
- Consommation réelle contenue
- Comportement dynamique
- Sonorité du 4 cylindres
- Direction peu centrée
- Volume du coffre amputé
- Prix final, options comprises
Dans cet article : BMW, BMW Série 5
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