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Partner Content / Mazda6e - De l'équilibre naît l'élégance

La nouvelle Mazda6e 100 % électrique écrit un nouveau chapitre dans l’électrification de la marque, sans renier ses valeurs fondamentales de design élégant, de technologie inclusive et de plaisir de conduire. Une Mazda qui parle à l’œil, au corps et à la main.

« Une Mazda ne copie pas, elle inspire ». Un adage qui trouve ses origines dans un style à nul autre pareil qu’entretient la nouvelle Mazda 6e 100% électrique, dont nous parle Jo Stenuit, directeur du design pour Mazda Europe depuis 2018. Diplômé du Royal College of Art de Londres, le Belge officie chez Mazda depuis plus de vingt ans et comprend parfaitement la philosophie de la marque. Il est donc bien placé pour nous évoquer le style de la nouvelle berline électrique de Mazda. La Mazda6e adopte un langage qui se voit plus qu’il ne s’explique, baptisé Kodo, l’« âme du mouvement ».

Un précepte synonyme de proportions justes, de surfaces vivantes, parfois rythmées par l’arrêt volontaire du trait. « Il faut savoir couper avant l’excès, laisser un silence entre les lignes : là naît la tension » explique Jo, mettant en exergue la nouvelle signature lumineuse qui transfigure la fameuse « Signature Wing » historique en abandonnant le chrome pour devenir lumière, deux « yeux » qui saluent et installent la voiture : une présence plutôt qu’un cri. Cette économie n’est pas un ascétisme ; c’est une discipline où chaque élément doit tomber juste lorsqu’on a choisi d’en montrer peu . « Nous avons travaillé sur les surfaces des parties basses afin de « remonter » visuellement la masse : la 6e prend la lumière comme une coque qui soulève une écume blanche ; l’électrique paraît soudain légère, prête à glisser » .

QUAND L’OBJET SE FAIT MOUVEMENT

Le Kodo chez Mazda, symbolise l’art du mouvement dans ce qu’il a de plus essentiel. Capot tendu, ailes au galbe franc, ligne de toit continue, porte-à-faux arrière millimétré : la Mazda6e n’exhibe rien, elle installe. À l’arrêt, ses flancs promettent le départ ; en mouvement, ils relancent le jour en un halo mobile qui étire la silhouette. Le dessin contient la force. Stenuit parle d’une « présence apaisée » : l’auto n’impose pas sa modernité, elle la diffuse. Ce refus de la surenchère rend chaque détail décisif : une cassure mal placée ferait chuter l’ensemble ; ici, la lumière file d’un plan à l’autre.

DE L’ÉQUILIBRE NAIT LE CONFORT

À l’intérieur, la Mazda6e respire le Ma, qui célèbre la beauté du vide. Le designer belge évoque l’image d’une maison japonaise traditionnelle : tatamis, boiseries, parfois une seule poterie rendue essentielle par le vide alentour. Le Ma n’est pas un manque : c’est un choix. Alors la planche de bord se dessine comme un horizon dégagé, la console comme un seuil plutôt qu’une barrière, et l’interface — plus digitale qu’hier — demeure lisible et tamisée. Ici, la technologie n’envahit pas la perception : elle accompagne le geste. Ce calme dynamique libère la conduite . Dans un art du compromis maitrisé, Stenuit assume l’évolution numérique mais refuse l’étalage : fonctions regroupées, commandes vocales, information utile agrandie — l’essentiel reste à portée de main.

COMPLICITÉ HARMONIEUSE

Reste le cœur Mazda : Jinba Ittai, la symbiose entre un cavalier et son cheval. « N’y voyez pas un slogan mais une sincère volonté de créer une relation entre la voiture et son conducteur », explique Jo Stenuit. La Mazda6e invite à conduire. Siège, volant, coordination pédale-moteur : tout répond au millimètre. Direction d’une seule voix, châssis qui pivote en un bloc, assise qui soutient sans raidir. Pas d’esbrouffe : la cohérence des gestes fait oublier la machine. Et Mazda y tient : « nous pouvons encore conduire nous-mêmes », aime rappeler Stenuit, soulignant la place du conducteur et le plaisir d’être acteur de sa trajectoire .

Au-delà des mots, le verdict de la route concrétise cette philosophie : cap tenu, reprises nettes, freinage progressif, régénération accordée avec tact. Le châssis filtre sans gommer ; on conduit plus juste, plus longtemps, avec moins d’effort. Le plaisir naît d’une évidence : la forme crée l’expérience. Un visage qui salue, des flancs qui respirent, une poupe qui propulse : l’ensemble raconte une élégance dynamique.

Pour Jo Stenuit, la Mazda6e n’est pas un manifeste mais une conversation : elle écoute la lumière, ménage l’espace, respecte la main. Elle condense des années de pratique — pureté plutôt que bruit, présence plutôt que posture — et rappelle qu’une Mazda réussie n’en dit jamais trop. On sort avec l’impression d’un dialogue : la voiture a tenu parole, vous avez mené la danse. Le trait Kodo donne le tempo, le Ma pose le silence, Jinba Ittai crée le lien. Et l’on se surprend à vouloir repartir pour prolonger la sensation.

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