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Premier essai / BMW Série 3

Rédigé par Bert Troubleyn le

Mécaniquement comme esthétiquement, la nouvelle BMW Série 3 reprend nombre d'éléments des Séries 5, 6 voire 7, mais elle ne les suit pas sur la voie de l'embourgeoisement. Elle continue à prodiguer un agrément de conduite dynamique conforme à celui qui a

Plus longue, (à peine) plus haute, plus large (voir encadré), la nouvelle Série 3 ? E90 pour les
spécialistes ? n'échappe pas à un constat fait à chaque changement de modèle. Cependant, BMW insiste sur le fait que cette augmentation mesurée du gabarit vise à remédier à un défaut récurrent de la Série 3: l'habitabilité arrière insuffisante, tout en accordant toujours la priorité au dynamisme du comportement
routier, donc à l'agrément de conduite. C'est pourquoi l'empattement croît de 35 mm pour améliorer l'espace
aux genoux à l'arrière (de 50%, paraît-il), tout en conservant la possibilité d'installer des 6 cylindres en ligne, longitudinalement, en retrait de l'axe du train avant (donc avec un porte-à-faux très court), avec la boîte dans le prolongement. Car, bien entendu, la «3» reste une propulsion.

Dans cet article : BMW, BMW Série 3

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