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Essai détaillé / Mercedes S 400 Hybrid

En bref

  • Tenue de route

    Fourni par ZF-Sachs, le module hybride est implanté entre la boîte automatique à 7 rapports et le 3.5 litres V6. Il s’agit d’un montage parallèle où le moteur électrique intervient pour lancer le V6 à essence, le seconder dans l’effort d’accélération et recharger la batterie en mettant à profit le frein moteur régénérateur. La S 400 Hybrid est donc une mild-hybrid, incapable de se déplacer rien qu’avec le moteur électrique. Le V6est celui de la S350 adapté; il délivre 7 ch de plus, mais le couple reste inchangé à 350 Nm. N’oublions pas qu’il profite des 160 Nm délivrés par le moteur électrique.

  • Sécurité

    La Mercedes S 400 Hybrid détient néanmoins 2 exclusivités: elle est la seule à associer un Stop & Start à une boîte automatique à convertisseur. Ça marche divinement bien! Elle est aussi la première du genre à utiliser un pack batterie lithium-ion. Il n’y a aucune gloire à en tirer, puisque son moteur électrique ne fait que 20 ch, au contraire des full-hybrids qui tra- vaillent avec des puissances supérieures et doivent toujours se contenter d’accus nickel-métal hydrure plus encombrants, à la densité éner- gétique moindre mais plus stables – c’est le cas du Mercedes ML 450 Hybrid attendu aux USA pour la fin de l’année record.

  • Confort

    La nouvelle Classe S ne connaît plus que la suspension pneumatique Airmatic à amortissement piloté. Essayée en version à empattement long, la S400 Hybrid offre 4 sièges individuels dans un habitacle de limousine. Ils étaient en cuir Passion du type confort (massants à réglages pneumatiques), chauffants et climatisés. Dans ce cocon-là, la beauté des matériaux, le soin de finition et la qualité de l’insonorisation sont au-dessus de tout soupçon. C’est du niveau d’une Maybach. Ou d’une Rolls. Sauf qu’on a droit à un (tout) petit moteur. Ça améliore l’image de la grande voiture de prestige.

  • Sens pratique

    La première hybride de Mercedes est aux premières loges pour profiter du face-lift – calandre et phares restylés – de la Classe S (W 221), sortie en automne 2005. Après tout, elle est la version la plus nouvelle. Côté équipement standard, elle se voit portée aux nues aux côtés du navire amiral, la S 600, pour être presque aussi richement dotée. Ainsi, elle a les éclairages diurne à l’extérieur, d’ambiance à l’intérieur, les projecteurs directionnels, le pack navigation comprenant la commande vocale, le disque dur de stockage des morceaux audio... La liste des options demeure malgré tout longue.

  • Budget

    La moyenne normalisée (8,2 l/100) fait naître de faux espoirs, surtout quand on sait que la S 350 L annonce 2 l/100 de plus. Notre moyenne (11,8) dépasse celle du cycle urbain (10,9) et doit être nuancée en pensant qu’il s’agit d’une grande automatique à essence, une catégorie dans laquelle nous manquons de références récentes. Vendue 135.000 € avec 24 options, elle n’aura pas de citation dans le Guinness Book pour son rapport prix/prestations. La S 400 Hybrid ne s’achète ni pour consommer peu ni pour performer beaucoup, mais pour se racheter une conscience environnementaliste au prix fort.

Mercedes S 400 Hybrid
Conclusion / Mercedes S 400 Hybrid

Le premier module semi-hybride à l’étoile est certes parfaitement intégré dans la chaîne cinématique d’une S350 devenue, du coup, S 400 Hybrid. Dans le genre rhqc, le système est abouti. Normal, c’est du Mercedes. Du made in Stuttgart qui nous donne ici l’occasion de goûter pour la première fois à un dispositif stop & start associé à une boîte automatique à convertisseur. Son fonctionnement colle si bien à la conduite au quotidien que ses interventions, imperceptibles, n’agacent jamais. Au point qu’il n’a pas été nécessaire de prévoir un bouton de désactivation. Evidemment, par rapport à une S 350, le gain en performance, voire l’économie réelle en essence n’ont rien de faramineux... Reste la bonne conscience de rouler dans la grande berline qui rejette le moins de CO2 au monde. Sans même recevoir l’absolution du fisc, qui ne lui octroie aucun écobonus. Voilà, en définitive, l’objet du désir des amateurs de grosses berlines qui espèrent ainsi gagner leur purgatoire. Pas sûr qu’ils soient nombreux à se bousculer au portillon. Une chose est certaine: aucun des convertis à la cause hybride ne demandera la suppression des sigles sur le coffre, même si l’option est gratuite. Parce que ces quelques lettres protègent mieux de la vindicte publique qu’un sérieux blindage. Et ça, par les temps qui courent, ça n’a pas de prix.

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