Essai détaillé / BYD Tang: L'emissaire impérial

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Conclusion / BYD Tang: L'emissaire impérial

Avec le Tang, BYD s’inscrit en faux contre certaines idées reçues. Celle que les voitures chinoises seraient par définition inférieures, d’abord. Il est clair que pour ce qui est de l’ensemble propulseur, de la finition et des aspects pratiques, le Tang n’a pas à rougir face aux valeurs sûres de la catégorie. Mais cela se paye… C’est qu’une voiture chinoise n’est pas, ou n’est plus, nécessairement bon marché. Et c’est là que le bât blesse: à ce prix, nous nous attendions à moins de petites imperfections. Surtout de la part d’une marque et d’un modèle qui ont encore tout à prouver en Europe. Son multimédia de qualité inférieure (du moins actuellement…), ses lacunes d’équipement et surtout sa consommation beaucoup trop élevée font que le Tang ne sera vraisemblablement pas le véhicule qui permettra à BYD de s’imposer en Europe, même si cette première offensive n’est pas à prendre à la légère…

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