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Essai détaillé / DS 3 E-TENSE : L’électrochic

Rédigé par Pascal Binon le

Jouant toujours la carte du luxe à la française, la DS 3 Crossback devient DS3 «tout court», se repoudre le nez et se remet au goût du jour en matière d’info-divertissement, tandis que dans sa variante électrique E-Tense, elle étrenne un nouveau moteur alimenté par une plus grosse batterie.

  • Avis Rédaction 14.30 /20

La DS 3 est celle par laquelle l’aventure DS a commencé. C’était en 2010. Un pari audacieux de la part de Citroën, qui à l’époque consistait à venir concurrencer des rivales premium déjà bien établies (Mini, Alfa Romeo MiTo, Audi A1) avec un modèle dérivé d’une simple C3. Pourtant, il faut reconnaître que la DS 3 première du nom a fait bien plus que de la figuration. A l’époque, DS n’était pas encore une marque à part entière, comprenez que les chevrons figuraient encore sur la carrosserie. Ils disparaitront en 2016 à l’occasion du second restylage. La DS 3 originelle (dont une variante cabriolet sera également proposée) sera produite jusque 2020, en parallèle donc avec son successeur, la DS 3 Crossback présentée au salon de Paris en octobre 2018. Cinq ans plus tard, l’heure de la remise à niveau de mi-carrière, a sonné, et dans le cas de la variante électrique E-Tense, celle-ci est bien plus qu’un simple facelift.

Le concept
«Nouvelle DS 3» comme disent les gens de la com’, renie donc son second prénom, comme l’a fait avant elle le gros SUV de la marque, le DS 7. Pourtant, conceptuellement parlant, il s’agit toujours bien d’un crossover, une appellation un peu fourre-tout désignant une voiture n’appartenant ni à la catégorie des modèles classiques, ni à celle des SUV. Mais qu’importe, puisqu’aujourd’hui, n’en déplaise aux plus bagnolards d’entre nous, pour plaire, une voiture se doit d’avoir de grandes roues et de proposer une position d’assise élevée.
L’avantage d’être une marque Premium au sein d’un grand groupe, c’est d’avoir le privilège d’étrenner de nouvelles solutions techniques. Ainsi, après avoir été le premier modèle de Stellantis à reposer sur la plateforme CMP, à l’occasion de son face-lift de mi-carrière, outre les classiques évolutions esthétiques, la DS 3 se dote, dans sa variante électrique, d’un nouveau moteur et d’une plus grosse batterie. Nous y reviendrons. Les moteurs à essence sont quant à eux reconduits sans modification: il s’agit des 1.2 PureTech 100 (boîte manuelle à 6 rapports) et PureTech 130 (boite automatique à 8 rapports). Il existe aussi une version Diesel BlueHDi 130 (boîte automatique à 8 rapports) mais elle n’est malheureusement pas proposée en Belgique.
Sur le plan esthétique, l’évolution la plus notable concerne la face avant, qui se dote d’un bouclier et d’une calandre redessinés. Idem pour les projecteurs à diodes, plus fins, et qui désormais peuvent disposer de la technologie d’éclairage matriciel avec une gestion automatique des feux de route. L’offre de jantes s’est quant à elle complètement renouvelée tandis que du côté des teintes extérieures, on note l’arrivée du Rouge Diva et du Gris Laqué. Caractéristique originelle, les possibilités de personnalisation sont toujours de la partie (toit de couleur contrastée et habillages intérieurs) de même que la qualité des matériaux proposés (cuir Nappa ou Alcantara) indique clairement la volonté de la DS 3 de jouer la carte du luxe à la française. Dommage toutefois que les intérieurs soient liés au niveau de finition. Ainsi, le haut de gamme Opera (comme notre modèle) n’est proposé qu’avec le cuir Nappa noir basalte. Idem pour les jantes. Il en existe 7 modèles, mais tous ne sont pas disponibles pour n’importe quelle version. Enfin, on notera aussi l’adoption d’un nouveau volant (emprunté à la DS 4) et d’un écran central plus grand (10,3 pouces) intégrant le nouveau système d’info-divertissement DS Iris System.

  • Confort d’amortissement
  • Performances en hausse
  • Consommation en baisse
  • Prix très élitistes
  • Possibilités de personnalisation limitées
  • Places arrière étriquées

Dans cet article : DS, DS DS 3

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