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Premier essai / Toyota Auris

Plutôt discrète jusqu'ici, l'Auris entame cette fois une opération séduction par le biais d'un style, de mécaniques et d'équipements redéfinis. L'hybride figure toujours au programme.

Prix
NC

L'Auris reprend la plate-forme de sa devancière, mais dans une version évoluée à la fois plus légère et rigide, et surtout bien plus à même d'accueillir l'ensemble hybride, notamment les batteries, désormais logées sous la banquette arrière et non plus dans le coffre. Autre évolution majeure: son allure. Elle abandonne les traits d'ersatz de monospace au profit d'une silhouette effilée et anguleuse. En dépit d'un encombrement similaire à celui de sa devancière, l'Auris revendique néanmoins une habitabilité accrue.

L'Auris n'est pas que visuellement plus dynamique. Elle devrait l'être aussi en mouvement, parce que Toyota a repensé les liaisons au sol. Sur la route, l'Auris a incontestablement gagné en vivacité et en agilité, avec un train avant plus direct et un essieu arrière qui suit sans broncher. Bref, l'équilibre - du moins avec les modèles à essieu arrière multibras proposés lors de cette première prise en main - fait largement oublier la précédente Auris, certes efficace, mais pataude. Mais la vraie bonne nouvelle, c'est que ce gain en dynamisme ne s'est absolument pas fait au détriment du confort.

Plus affirmée, l'Auris revient dans une seconde génération bien plus en phase avec son époque et, surtout, avec la concurrence du segment C, qui s'est largement renforcée ces dernières années. Reste à vérifier si les progrès en matière de finition et de dynamisme se confirmeront sur les versions de base, privées d'essieu multibras. Mais ce qui est sûr, c'est que l'hybride HSD reste le modèle le plus captivant de la gamme. Une perle.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1539 du 27 décembre 2012.

Dans cet article : Toyota, Toyota Auris

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