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Aston Martin DBX, ce que j'en pense

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SsangYong est un constructeur d’assez petite taille (l’an dernier, il a manqué de peu son objectif de 150.000 ventes annuelles, à la suite du repli du marché russe…) ce qui n’a pas que des inconvénients. C’est ainsi que l’importateur belge de la marque est en contact direct avec le grand patron en Corée, ce qui lui a permis de nous proposer, au cours des vacances de Pâques, un bref premier essai du nouveau Tivoli, avant même la première présentation de presse, qui sera organisée début mai. L’importateur disposait déjà de deux voitures destinées à être exposées au salon AutoRAI d’Amsterdam. Cette volonté de nous faire essayer aussitôt que possible le dernier-né de la gamme SsangYong s’explique par les (très) grandes ambitions de la marque coréenne, qui espère vendre cette année 2 fois plus de voitures que l’an dernier, soit près de 300.000 véhicules. Le Tivoli est appelé à tenir un grand rôle dans cette offensive. Dès 2017, SsangYong prévoit aussi de s’attaquer au marché américain.
Dans cet article : Ssangyong, Ssangyong Tivoli