Essai Toyota Verso-S | Moniteur Automobile

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Avis Rédaction 13.00 /20

La Verso-S dérive de la Yaris actuelle (dont la succession est prévue pour cette année), une des dernières polyvalentes à rester nettement sous la barre des 4 mètres (3,78 m exactement). En matière de modularité, la Verso-S a considérablement régressé par rapport à sa devancière. Désormais, il faut se contenter d'une classique banquette rabattable 60/40 et de dossiers réglables en inclinaison, mais dans une très faible mesure. À côté des sièges arrière entièrement réglables voire complètement escamotables de la Verso d'antan, voilà qui est plutôt maigre. Enfin, ne vous étonnez pas si vous croisez un clone de la Verso-S badgé Subaru. Depuis peu actionnaire de Fuji Heavy Industries (maison mère de Subaru), Toyota tente de répartir ses coûts de développement en exposant son petit monopace dans les salles d'exposition de sa filiale sous le nom de Trezia.