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Essai détaillé / Subaru Impreza 2.0D

Subaru Impreza 2.0D #1

En bref

  • Tenue de route

    Naturellement équilibré, donc dépourvu de volant-moteur lesté, l’unique Boxer Diesel (2 litres, 150 ch) a les caractéristiques de rendement d’un 4 cylindres en ligne avec le raffinement soyeux d’un 6 cylindres. Les Legacy/Outback l’ont étrenné avec 5 vitesses, le Forester l’exploite avec 6 rapports qui suppriment la réductrice; une boîte que l’Impreza, plus légère, reprend sur un pont plus – trop? – long. Du coup, l’atonie sous les 1800 tr/min se ressent plus, exigeant de jouer davantage avec un sélecteur rétif à manier en (dé)composant. En accélération et agrément, l’Impreza 2.0D est un régal de tous les instants.

  • Sécurité

    Le diamètre des disques avant a été accru pour faire face aux kilos supplémentaires que représente le bloc Diesel. Fidèle à la transmission intégrale à 3 différentiels, l’Impreza a un visco-coupleur central (pour reporter du couple sur l’essieu adhérent) et un contrôle de stabilité (VDC) intégrant une aide au démarrage en côte (HSA) ainsi qu’un antipatinage (TCS) qui rend superflu l’autobloquant arrière. La distribution nominale du couple entre les essieux est de 50/50. Les arbres de transmission sont symétriques avec – grâce à l’architecture boxer – l’avantage du centre de gravité abaissé. Avec 50 ch de mieux, ça serait une WRX ST... D.

  • Confort

    L’Impreza Diesel a des suspensions soyeuses, qu’elle soit «sport» ou non. Essayée en Sport Nav, la nôtre proposait des sièges avant baquets à dossier-appuie-tête monobloc; de quoi assurer le maintien que l’on est en droit d’attendre d’une traction intégrale portée sur les virages avalés à grande vitesse. La sonorité du boxer Diesel se confond avec celle d’un boxer à essence... en mieux, parce qu’il monte moins en régime et roucoule donc moins fort. Zéro vibration! Mais une chaussée provoque vite des bruits d’eau si elle est détrempée, ou de roulement si sa surface est rugueuse.

  • Sens pratique

    L’Impreza Diesel a une prise d’air d’intercooler sur le capot qui la fait ressembler à la WRX STI, non sans suggérer le temps où l’on diésélisait des modèles à essence sans grosse modification. Chez Subaru, cette greffe est assurément la bonne: le confort de marche du 2.0D est supérieur à celui du 2.0R. Le boxer Diesel profite de la nouvelle carrosserie plus spacieuse et généreusement vitrée, aux portes pourvues d’un encadrement de vitres. La dotation de base Luxury – qui n’en est pas une! – prévoit le VDC/HSA, les sièges avant chauffants, le dégivrage des essuie-glace... En voilà une qui passera l’hiver!

  • Budget

    En affichant 7,2 l/100, la moyenne de l’ordinateur nous a laissé le faux espoir d’annoncer une conso record. Or notre Impreza Diesel est juste parvenue à descendre sous la barre fatidique des 8 litres, qui reste flatteuse pour une auto à transmission intégrale dont les 3 différentiels sont constamment sollicités. Une conduite relaxée la cantonne à 6,8 l/100, soit la valeur du cycle urbain. Les mauvais bilans énergétiques des générations de boxers à essence qui se sont succédé jusqu’ici sont oubliés. Ce passage au gazole réussi nous permet de profiter enfin et sans retenue des atouts du modèle avec, à la clé, une valeur résiduelle en très nette hausse.

Subaru Impreza 2.0D
Conclusion / Subaru Impreza 2.0D

En modèle d’accès Luxury, l’Impreza Boxer Diesel est dans les prix minima pratiqués par les marques généralistes pour leurs berlines Diesel 5 portes de 136 à 150 ch (Fiat Bravo, Ford Focus, Opel Astra...). La Sport se positionne parmi les compactes plus «huppées» mais moins bien équipées dans leur premier niveau d’exécution, les Alfa 147 1.9 JTDM 150, Audi A3 Sportback 2.0 TDI, Citroën C4 2.0 HDi, Volkswagen Golf 2.0 TDI... qui sont toutes des tractions! De tout ceci, il ressort que notre Subaru ne fait pas payer la transmission intégrale. Vous me direz que tant qu’on épand massivement – de manière incontrôlée et sans le moindre respect pour l’environnement – du sel sur nos routes et que le législateur ne rend pas les pneus hiver obligatoires, le Symmetrical AWD n’est pas un argument. Détrompez-vous: associées au brio raffiné du boxer Diesel, les quatre roues motrices contribuent grandement à l’agrément de conduite unique de cette auto qui n’est ni trop banale ni trop poseuse. Il ne faudrait pas grand-chose pour en

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