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Essai détaillé / Opel Insignia

En bref

  • Tenue de route

    Intrinsèquement, ces deux moteurs sont excellents, mais le 1.6 Turbo est peut-être un peu juste pour propulser aisément la grande et lourde Insignia Sports Tourer. C’est flagrant en reprises. Heureusement, la commande de boîte est au point. Quant à l’étagement, s’il est bien adapté au 1.6, il en va autrement dans le cas de l’Ecoflex, dont les derniers rapports sont réellement trop longs. L’assistance de direction revient à l’hydraulique, donc au bon retour d’information. Quant au diamètre de braquage, il est moyen, sans plus.

  • Sécurité

    En dépit de la puissance de ces deux moteurs, le freinage ne souffre pas la critique. En outre, l’effort à la pédale est facile à doser. Le comportement de l’Insignia est excellent. La Sports Tourer se montre encore plus vive dans les virages serrés. Rien à redire de la motricité ni de l’adhérence. Quant à l’éclairage, nos deux voitures étaient munies de l’excellent et pas trop cher AFL (bi-xénon et éclairage des virages). Aux crash-tests Euro-NCAP, l’Insignia s’est très bien comportée vis-à-vis de ses occupants et un peu moins bien envers les piétons.

  • Confort

    Notre ecoFLEX n’étant pas munie du FlexRide, nous avons pu constater que la suspension de base est elle aussi très bonne. Les sièges sont bons, mais les sport apparaissent meilleurs encore. Pour une voiture de ce gabarit, l’habitabilité à l’arrière n’a vraiment rien de transcendant. L’insonorisation était soignée dans nos deux exemplaires, la climatisation fonctionnait efficacement, mais le débit de la ventilation mériterait d’être réétudié.

  • Sens pratique

    S’installer à l’avant est aisé. A l’arrière, la Sports Tourer présente le grand avantage d’une chute de pavillon bien moins rapide. Bien entendu, c’est aussi elle qui offre la plus grande capacité de charge. Toutefois, comparée à sa devancière, elle s’affiche en net recul sur ce point. Il faut faire des sacrifices pour être belle... La baie de chargement de la 4 portes étant gênante, on préférera la 5 portes (un peu plus chère) ou ce break. L’équipement est assez complet, l’instrumentation parfois un peu compliquée. Et la finition est rigoureuse.

  • Budget

    Déjà à l’origine, le CDTI se montrait remarquablement sobre. L’Ecoflex fait encore un petit peu mieux, sans rien sacrifier au plaisir de conduite. Le 1.6 est un peu à la peine et sa consommation s’en ressent. L’indicateur d’intervalles d’entretien, c’est bien, mais la garantie générale est assez pingre. Si l’on prend en compte les performances, l’équipement et la qualité générale, l’Insignia vaut la dépense. En principe, c’est l’ecoFLEX qui devrait le mieux se comporter à la revente.

Opel Insignia
Conclusion / Opel Insignia

Avec ses 136 g/km de CO2 autorisant une déductibilité maximale, l’Insignia ecoFLEX ne manquera pas de séduire les gestionnaires de flottes . D’autant que, malgré un étagement de boîte excessivement long, elle roule tout aussi bien qu’une 2.0 CDTI «normale», tout en se montrant encore plus sobre. La Sports Tourer n’usurpe pas son appellation, elle qui a préféré sacrifier l’habitabilité et le volume utile sur l’autel du style... toutes portes fermées. Car une fois le hayon ouvert, le moins que l’on puisse dire, c’est que le traitement de la face arrière est pour le moins «spécial», sans compter qu’il ne facilite guère les opérations de (dé)chargement. Cela dit, sur la route, la Sports Tourer offre beaucoup d’agrément de conduite et de confort.

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