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Essai détaillé / Audi A3 Cabriolet 2.0 TDI

En bref

  • Mécanique

    Le cabriolet reprend les TDI et TFSI de la berline 4 portes, mais pas le 1.2 TFSI 105 proposé dans le modèle de base des 3 portes et Sportback 5 portes. Comme dans toutes les Audi, les moteurs de dernière génération de l'A3 associent l'injection directe, la suralimentation et le stop&start. Conso en baisse (très relative, en fait) et perfs en hausse, y compris pour le 2.0 TDI 150 (+10 ch, +20 Nm) qui nous occupe ici, alors que l'étagement de la boîte manuelle à 6 rapports est inchangé.

  • Tenue de route

    Le cabrio profite des proportions de l'A3 3 portes. Il peut désormais monter des jantes alu de 19” (équipement de base: 16” voire, sur notre Ambition, 17”). Cette exécution médiane jouit en outre de la suspension sport abaissée de 15 mm et des programmes de conduite Drive Select agissant sur les réponses du moteur et de la Servotronic. La direction progressive asservie à la vitesse demeure par contre une option, comme la plupart des aides à la conduite calquées sur celles des plus grosses Audi.

  • Sécurité

    L'A3 Cabriolet s'érige sur la plateforme modulable MQB du groupe Volkswagen, qu'il est le premier à utiliser sans toit. Malgré les renforts nécessaires à lui garantir une rigidité structurelle proche de celle de la berline, la coque en blanc pèse 30 kg de moins que celle de l'ancien cabriolet. Le gain total atteint 50 kg, alors que le véhicule a grandi. Difficile de taire le changement majeur en matière de sécurité: la suppression des inélégants arceaux fixes au profit d'éléments télescopiques.

  • Confort

    La montée en gamme du Cabrio A3 se remarque à ce qu'il est plus chic et à des attentions concrètes jusqu'ici apanage de modèles plus chers. Ainsi, le chauffage de nuque, intégré à la base des appuie-tête avant, est pour la première fois proposé en option. Le filet antiremous, facile à placer au-dessus de la banquette, est de série, sauf sur l'exécution de base Attraction. Il y a plus mesquin, vu les prix d'attaque pratiqués: l'isolation renforcée de la capote n'est disponible qu'en supplément.

  • Sens pratique

    Le cabriolet A3 gagne en distinction, mais son temps de (dé)capotage automatisé (actionner le bouton ad hoc ou la clé dans la serrure du conducteur) a doublé (± 18 s) du fait que le rangement est plus complexe: l'armature de capote ne se replie plus sur elle-même derrière la banquette, laissant une partie de la toile apparente, mais sous un couvercle qui la cache complètement. On peut par contre désormais (dé)capoter jusqu'à 50 km/h. Coffre modulable généreux, facile d'accès. Trappe à skis.

  • Budget

    La rage d'Audi à s'élever sans cesse en gamme transpire à travers sa façon d'établir ses prix de base. L'A3 Cabrio 2.0 TDI à 32.700 euros, c'est au bas mot 5.000 euros de plus que la moyenne des concurrents généralistes (Golf, Beetle, pour ne reprendre que les décapotables à toit en toile); voire encore 600 euros plus cher que ce que demande BMW pour sa 118d. Et dire que, malgré ça, il faut payer des suppléments pour des équipements qu'on verrait plutôt de série, l'isolation de capote renforcée notamment...

Audi A3 Cabriolet 2.0 TDI
Conclusion / Audi A3 Cabriolet 2.0 TDI

Avec la crise et la pression sociale, les grandes voitures ou, plus encore, celles du milieu de gamme se vendent moins bien. Autant miser sur les plus petites, qui n'ont d'ailleurs jamais été aussi chères, en leur apportant de la valeur ajoutée justement. C'est exactement le calcul d'Audi qui, même davantage que les autres marques «premium», s'échine à mettre, dans l'échelle du luxe, ses modèles d'accès à égalité avec les hauts de gamme traditionnels. Non qu'ils soient d'office bien équipés. Que nenni! Au contraire, leur prix d'attaque nous laisse une dotation minimale comptée, mesquine même. Mais, au moins, le client ne se sent pas floué sur la qualité et la présentation du produit, en tous points impeccables. La même voiture garde le même bel aspect, qu'elle coûte 30.000 euros en version de base ou 50.000 euros bardée d'options. Le standing est là, sans option et la «sur-richesse» ne se remarque pas. De même, les différences de prix entre les moteurs proposés se lissent. L'agrément de conduite d'un cabriolet n'étant pas, autant que celui d'une voiture à carrosserie fermée, lié au binôme puissance/cylindrée, le choix le plus cohérent nous aurait dicté de préférer plus petit que le Diesel 2.0 TDI. Pourquoi pas un 1 .4 TFSI à essence, qui rejette presque aussi peu de CO2 pour une fiscalité plus light...

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