Entre la toile de charme de la capotableet le toit stylé du coupé-roadster, moncoeur chancelle. Difficile d’échafauderun critère de choix objectif qui permettede remettre de l’ordre dans notre forintérieur en émoi. A moins, bien sûr, quele poète tout ébouriffé qui somnole envous ne considère que le tissu est plussalissant que la tôle... Ce serait dommage,parce que les clichés habituels qui senourrissent de ces deux marques n’ontpas cours ici: plus marrante à conduire,l’Audi se lâche plus que la BMW, tropobnubilée par des considérations statutaireset terre-à-terre. De l’air, que diable!