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Environnement / Le Royaume-Uni retardera-t-il le bannissement du thermique en 2035 ?

Rédigé par Frédéric Kevers le 20-09-2023

Le Royaume-Uni pourrait retarder de 5 ans l'interdiction de vendre des voitures neuves à moteur thermique et s'alignerait alors sur le calendrier européen.

En 2020, le plan « Green Revolution » du gouvernement britannique destiné à réduire drastiquement les émissions de CO2 du Royaume-Uni. Ce plan comprenait notamment l’interdiction des voitures neuves à moteur thermique dès 2030. Une échéance qui pourrait être repoussée à 2035 – comme c’est le cas pour l’Union européenne – dans le cadre d’un assouplissement de plusieurs politiques gouvernementales relatives à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Horizon 2035

Initialement, le plan « Green Revolution » visait l’interdiction de la vente de véhicules neufs à moteur thermique dès 2030 avec des dérogations pour les modèles hybrides rechargeables jusqu’en 2034 sous la condition qu’ils disposent d’une « autonomie zéro émission significative ». Si l’on peut penser qu’il est question de l’autonomie en mode « full électrique », rien n’était précisé sur ce point. Toutefois, le plan introduit par Boris Johnson – alors Premier ministre britannique en 2020 – s’avérait très ambitieux. Trop ? C’est ce qu’indique la BBC qui a déclaré que le Premier ministre en exercice Rishi Sunak devrait annoncer des aménagements de plusieurs politiques en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre dont le report de l’interdiction des moteurs thermiques. Ce bannissement serait retardé de 5 ans et interviendrait, dès lors, en 2035, comme ce sera le cas pour les pays membres de l’Union européenne.

La facture du citoyen

Cette prise de recul par rapport aux ambitions initiales pourrait s’expliquer en grande partie par le fait qu’une transition trop rapide vers le « zéro carbone » se traduirait inévitablement par une augmentation significative du coût de la vie pour les citoyens du Royaume-Uni. Une perspective que veut éviter le gouvernement britannique. Une approche hautement politique et « électorale » certes, mais qui permettrait à la Grande-Bretagne de se mettre au diapason de l’Europe et de conserver une certaine compétitivité économique face à la concurrence du « Vieux Continent ».

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