En attendant l'Arlésienne qu'est devenue la Bugatti Veyron, et après les récentes Mercedes SLR et Porsche Carrera GT, le club très fermé des supercars accueille
le dernier rejeton de Maserati, marquant le retour sur le devant de la scène d'une marque à l'histoire et au palmarès prestigieux. Commençons par dissiper le malentendu qui pourrait laisser penser que cette MC12 ne serait qu'une Ferrari Enzo recarrossée et rebadgée.
Son histoire est plus compliquée et beaucoup plus intéressante que cela. Sa genèse s'inscrit dans le vaste mouvement de relance imprimé à la marque au Trident par des dirigeants qui sont aussi, rappelons-le, ceux de Ferrari.
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