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Aston Martin DBX, ce que j'en pense

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On connaissait déjà le Tricity 125 dans la gamme Yamaha. Malin et sympa en ville, ce tricycle «huitième de litre» se révèle par contre trop faiblard sur les axes dégagés. C’est donc tout naturellement que le constructeur japonais a imaginé son grand frère, le 300, à l’attention des navetteurs autoroutiers et/ou désireux de plus de pêche, pour dépasser ou pour le plaisir d’un engin plus vif. Tout sauf nouveau, le principe du scooter à trois roues reste plus pertinent que jamais. Car à l’attaque d’un rond-point ou à l’approche d’un «pif-paf», tout le monde n’a pas le coup de guidon d’un Rossi. Et les jours de météo grasse, ABS ou pas, les motocyclistes – même les plus expérimentés –, ne sont jamais à l’abri d’une dérobade du train avant, ce qui se solde, au mieux, par un grand moment de solitude, mais souvent par de gros bobos. Bref, que l’on aime ou pas, trois roues au lieu de deux, c’est indubitablement plus de sécurité et moins d’angoisses. L’argument vaut surtout pour les novices qui, lassés des embouteillages, délaissent le volant pour un guidon. Rappelons d’ailleurs à ce public que les spécificités techniques des 3-roues modernes leur permettent d’emprunter la route en «300» avec leur permis B, sans besoin de permis spécifique.