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Essai détaillé / Porsche 911

Rédigé par Bert Troubleyn le

Doyenne des sportives – au moins par le nom et le concept du tout-à-l’arrière –, la Porsche 911 n’en finit pas de rajeunir. Chez elle, le moindre restylage est prétexte à des évolutions majeures. Ce coup-ci, ses diodes diurnes tout fraîchement étrennées auréolent d’un éclat particulier sa conversion à l’injection directe et à la boîte à double embrayage.

Porsche 911 #1

Comment une voiture de sport peut-elle nous avoir tenus en haleine pendant 45 ans alors qu’elle s’enferre dans des principes architecturaux bizarroïdes le moteur en porte-à-faux arrière qu’elle est seule à défendre? Simplement pour le beau geste de n’avoir pas cherché la facilité et de parvenir malgré tout à s’imposer en référence dans la plupart des solutions qu’elle a su proposer. En se remettant chaque fois sur le métier sans renier ces principes qui lui donnent tant de caractère. En un mot comme en cent, pour tout ce qui rend la 911 si unique.
Parce que Porsche n’a pas l’habitude d’explorer un domaine à la légère, mais se fait toujours fort de le maîtriser avec originalité, souvent contre toute attente. Il en va ainsi de l’étonnante frugalité en essence de ses boxers atmosphériques, bien effective depuis les débuts de la marque, alors que les importantes surfaces d’échanges thermiques propres aux moteurs à cylindres horizontaux favorisent la forte consommation. Subaru, l’autre motoriste versé dans ce type de moteurs, achoppe toujours sur ce problème et s’y est cassé les dents jusqu’à passer avec plus de résultats au boxer Diesel...
Par ailleurs, Zuffenhausen a toujours su faire du déséquilibre naturel de la 911, de sa physionomie particulière, une qualité, en retravaillant sans cesse ses liaisons au sol, pour en faire la sportive la plus gratifiante à piloter, la seule qui a su surclasser en agrément, les unes après les autres, les générations de ses rivales ou, le plus souvent, celles qui n’ont même pas laissé de descendance ni fondé une lignée. Le lancement de la Carrera 4, à 4 roues motrices, n’a visé qu’à lui faire prendre la route par tous les temps avec une marge de sécurité étendue et à la mettre plus volontiers entre toutes les mains, sans dénaturer sa posture dynamique.

Dans cet article : Porsche, Porsche 911

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