Pas mal pour une entrée dans le club fermé des superberlines Diesel, où les protagonistes habituels en sont déjà à leur modèle V8 de énième génération, forcément un peu plus abouti que la Phaeton. Celle-ci ne démérite pas, quel que soit le domaine exploré et malgré de petites approximations çà et là. Mais à force d'ambitionner une immatérielle image de marque, cette boulimique du standing a négligé de surveiller sa prise de poids. Elle aurait écrasé ses rivales avec autrement plus d'impact si le V10 TDI n'avait pas gaspillé une partie de son énorme potentiel à compenser son excédent pondéral.
Dans cet article : Volkswagen