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Essai détaillé / Porsche Cayman

En bref

  • Mécanique

    Tout beau, tout nouveau, le 2,7 litres n'a pas sa langue en poche : il hurle comme un diable à haut régime et ravit les sens, surtout avec l'option échappement sport. Civilisé en bas, explosif en haut, il manque simplement de couple entre 2500 et 4500 tr/min. Mais c'est voulu par les motoristes, pour accentuer le coup de pied aux fesses à partir de 4000 tours. Reste que les moteurs Porsche figurent parmi les plus sobres de leur genre : 11,4 l/100 km, c'est très raisonnable eu égard aux performances.

  • Tenue de route

    Plus léger, plus rigide, doté de voies élargies et d'un empattement allongé, le Cayman se tortille dans tous les sens avec une adresse déconcertante. Un vrai plaisir tant ses réactions sont saines et téléphonées, ne mettant jamais dans l'embarras. On en redemande, sauf avec les pneus de base de 18”, dont les flancs trop hauts et insuffisamment rigides laissent trop de place à l'approximation. Comme toujours, le freinage est à la hauteur et l'option freins en carbone-céramique est disponible.

  • Sécurité

    Le Cayman emmène l'essentiel avec lui (4 airbags, prétensionneurs de ceinture et limiteurs d'effort). Nouveauté : la liste d'options intègre désormais un régulateur de vitesse actif, un accessoire qui fonctionne fort bien, mais qui coûte tout de même 2.202,20 euros. Dans le même ordre d'idées, les futurs papas ne devront pas oublier de cocher la fixation Isofix avant, qui permet aussi de désactiver l'airbag du passager.

  • Confort

    Les pneumatiques de base sont évidemment ceux qui offrent le meilleur confort de roulage. Cela dit, le rendu routier des montes de 19 et 20 pouces reste tout à fait acceptable pour une utilisation quotidienne, surtout avec le PASM. L'insonorisation est soignée, tout comme la position de conduite et les sièges. Notez que le climatiseur automatique est facturé en option, ce qui, à ce niveau de gamme et de prix, est plutôt mesquin.

  • Sens pratique

    Bien sûr, s'installer aux commandes d'un Cayman demande un peu plus de contorsions que pour un Scénic, mais sa polyvalence n'est pas loin d'atteindre celle d'une Golf, notamment pour le coffre, dont le volume est plus que doublé avec le coffre arrière, voire davantage lorsqu'on charge jusqu'au toit par-dessus le moteur. Bien organisée et joliment dessinée, la planche de bord n'offre malheureusement aucun espace de rangement.

  • Budget

    Porsche a beau faire partie du groupe Volkswagen, le prix de ses modèles n'aura jamais rien en commun avec ceux de la marque du peuple. Le tarif est donc élevé, les options nombreuses et chères, mais c'est là le prix à payer pour disposer d'une sportive hors pair qui garde par ailleurs une jolie cote sur le marché de la seconde main. Évidemment, le choix d'options fera rapidement grimper la facture, mais pas encore au niveau d'une 911. L'écart est respecté.

Porsche Cayman
Conclusion / Porsche Cayman

Comme l'animal auquel il fait référence, le Cayman est un engin fascinant, capable de pointes de vitesse ahurissantes et d'attaques ciblées particulièrement rapides. C'est en tout cas l'impression que laisse cette génération «981» qui, sur la route comme sur la piste, parvient à se contorsionner dans les virages comme aucune autre sportive, le tout sans jamais céder au moindre débordement. Bref, le Cayman reste l'un des plus fins négociants en virages qui soit, une spécialité qui n'implique du reste aucune concession, puisque ce coupé affiche une polyvalence que peu de sportives sont capables de lui contester. À l'exception, peut-être, de la 911, avec qui la question de la proximité ne se pose pourtant pas. Et pour cause : l'écart avec le monstre sacré a été savamment calculé. En puissance mécanique d'abord, avec des flat-6 qui n'auront visiblement jamais les capacités de ceux de Sa Majesté, mais aussi en prix, puisqu'il faut toujours 40.000 euros de plus pour obtenir un ticket d'entrée pour le spectacle 911. Entre ces deux-là, il n'y aura donc jamais bataille, mais complémentarité. Et c'est bien mieux ainsi.

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