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Essai détaillé / Mini Roadster Cooper S

En bref

  • Mécanique

    Malgré la réduction de puissance visant à diminuer de moitié la taxe de mise en circulation (2.478 euros tout de même), le 1.6 turbo conserve sa rondeur et sa hargne à tous les régimes. Il est pour cela très bien secondé par la boîte manuelle à 6 rapports, à la commande précise et bien guidée. Il faudra en revanche veiller à ne pas se laisser entraîner par cette mécanique bien huilée, qui se montrera alors gourmande au prorata des performances réclamées à l'accélérateur.

  • Tenue de route

    Incisif, le train avant du Roadster se place au millimètre grâce à une direction précise. Le train arrière suit quant à lui fidèlement, à moins qu'on ne le provoque au lever de pied, auquel cas il engage avec progressivité. Le bât blesse lorsque l'asphalte se dérobe. Les mauvais revêtements font vibrer le roadster de tout son long, tandis qu'il rebondit sans cesse. Ces sautillements le font sortir de sa trajectoire et mettent à mal la motricité du train avant ainsi que le freinage.

  • Sécurité

    Si le Roadster se voit gratifié de 5 étoiles au test Euro- NCAP, il ne prévoit aucun dispositif de prévention d'accident. Mais il propose une fonction qui agit sur les freins pour simuler l'effet d'un différentiel autobloquant, en vue d'optimiser la motricité (180 euros). Le véritable point faible, c'est la visibilité : la capote occulte totalement le champ de vision de trois quarts arrière. Ce qui explique sans doute pourquoi les responsables ont choisi de monter d'office les capteurs de recul.

  • Confort

    La suspension ferme parvient difficilement à digérer les irrégularités de la route, avec pour conséquence, des passagers souvent malmenés, malgré le soutien des excellents sièges sport. L'insonorisation est une autre lacune majeure et récurrente au sein de la marque. À simple épaisseur, la capote n'améliore pas les choses. Facile à plier, elle est plus difficile à remettre en place sans l'assistance électrique. Une option, tout comme le saute-vent, lequel ne nous a pas semblé très efficace.

  • Sens pratique

    De par sa conception de cabriolet, le Roadster reçoit une classique malle plutôt qu'un hayon comme sur le Coupé. Ce qui réduit l'ouverture au même rang que les Mini Hatch ou Cabrio. Il conserve néanmoins un volume acceptable de 240 l, auquel il est aussi possible d'accéder depuis l'habitacle, via une «trappe à skis». Déjà nulle, la visibilité vers l'arrière est encore entravée par l'aileron mobile qui se déploie à partir de 80 km/h et se replie sous la barre des 60 km/h.

  • Budget

    Le Roadster requiert un investissement supplémentaire de 1.650 euros en comparaison du Coupé ; soit un total de 28.250 euros dans le cas de notre Cooper S. C'est beaucoup d'argent pour une si petite auto et pourtant, c'est 950 euros de moins qu'une Mini Cabrio classique. Une différence qui se résorbe si l'on a opté pour la capote automatique (850 euros). Et tout cela sans compter les 4.635 euros d'options qui équipaient notre véhicule d'essai. La personnalisation a un prix...

Mini Roadster Cooper S
Conclusion / Mini Roadster Cooper S

Quitte à jouer les égoïstes, autant opter pour la version Roadster plutôt que pour le Cabrio, ce dernier étant de toute façon inapte à embarquer valablement des passagers à l'arrière. D'autant qu'il est aussi plus cher et doté d'un coffre nettement plus réduit. Offrez néanmoins à votre Roadster le petit déflecteur pare-vent et éventuellement la capote électrique, plus pratique qu'il n'y paraît de prime abord. Pour le reste, le moteur de cette version Cooper S reste un enchantement facturé 1.000 euros de moins que le 2.0 Diesel. Il y aurait presque de quoi hésiter, n'étaient les frais liés à son utilisation, nettement plus élevés (taxes, assurances, consommation...).

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