En adoptant un moteur à la hauteur de son poids et de son encombrement et surtout une boîte automatique (enfin!), le Chrysler Voyager répond à la plupart des griefs émis à l'encontre du précédent. Reste à soigner la modularité, pour l'instant limitée par le poids des sièges et de la banquette, et l'heure de la pleine maturité aura sonné.
Dans cet article : Chrysler, Chrysler Voyager