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Marché / Le secteur automobile demande un assouplissement des règles

Rédigé par Olivier Duquesne le 03-04-2020

Face à la fermeture des garages et concessions, et à l’activité réservée à quelques véhicules essentiels dans les ateliers, tout le secteur automobile est à l’arrêt. Ses fédérations demandent des ajustements.

La Febiac (fédération de l’industrie automobile), Traxio (fédération de la distribution) et Renta (fédération de la location) s’unissent pour demander un ajustement des mesures en ce qui concerne certaines activités dans le secteur automobile. Les acteurs du monde automobile belge indiquent être parfaitement en mesure de respecter les règles d’hygiène et de distanciation sociale pour les activités suivantes :

  • Assurer la livraison des véhicules commandés avant la crise sanitaire, pour éviter notamment un amoncellement en concession et dans les ports belges. Et donc des difficultés logistiques à la fin du confinement.
  • La reprise du marché de l’occasion chez les vendeurs professionnels en permettant l’accès au contrôle technique ainsi que le transport et la visite, uniquement sur rendez-vous.
  • Les activités régulières d’entretien, de réparation et même de permutation des pneus, là aussi uniquement sur rendez-vous.

Difficultés économiques

Le secteur automobile craint déjà la reprise avec des retards de production et un marché automobile qui risque d’être irrémédiablement touché, notamment parce que cette activité est « fortement capitalistique ». Il y a des risques de faillites. De plus, des échéances réglementaires sont fixées en 2020, notamment pour les normes Euro de certains types de véhicules. Les retards dans les livraisons et un stock important bloqué en usine ou dans les ports pourraient rendre une partie de cette flotte « invendable » après la date butoir d’immatriculation autorisée. Il y a donc une demande de prolongation du délai pour permettre l’écoulement de ces véhicules.

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