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Environnement / Voitures électriques : moins polluantes globalement que les thermiques ?

La voiture électrique est-elle plus écologique que la voiture thermique ? Ce thème réapparaît constamment. Une nouvelle étude donne l’avantage à l’électrique. Mais elle nuance aussi.

Pour lutter contre les émissions des gaz à effet de serre, faut-il abandonner la voiture thermique* ? Oui, si on tient compte de tout le cycle de vie, selon la Fondation européenne pour le climat (ECF) dans le cadre d’une étude menée notamment avec des ONG environnementales, Renault et le fabricant de batteries Saft. Même si cela exige des nuances. En effet, la réduction des émissions de CO2 depuis la planche à dessin jusqu’à la fin de vie de la voiture dépendra aussi du mix énergétique. Les centrales au charbon ou au fioul ne sont pas les meilleures alliées des voitures électriques. Le nucléaire permet de réduire les émissions de CO2, mais l’on sait à quel point cette solution est limitée par ses déchets radioactifs. Une autre étude menée par la VUB et Mobi avait démontré récemment que même avec de l’électricité grise, les voitures électriques restaient plus avantageuses sur le bilan global. 

70 % à 57 %

La nouvelle étude indique qu’une citadine électrique émettra, sur son cycle de vie, 70 % de « gaz à effet de serre » de moins qu’une voiture à essence équivalente, en tenant compte du recyclage des batteries et d’une transition vers les énergies renouvelables. Pour une berline, le taux passerait à 57 % par rapport à une voiture similaire roulant avec un Diesel. Par contre, la voiture électrique est imbattable en matière de NOx et de particules fines. Le rapport précise que pour « un parc de 4,4 millions de véhicules électriques en 2030 (dont les PHEV) les émissions à l’échappement de polluants atmosphériques des véhicules légers en France pourraient être réduites d’environ 72 % pour le NOx et de 92 % pour les particules fines (PM10) ». Enfin, l’étude précise sur le rôle de stabilisateur de réseau des voitures électriques branchées sur les bornes en cas de surcharge ou de pic de consommation. 

* Il est important de noter que cette étude compare la voiture électrique avec la voiture thermique utilisant du carburant fossile. Elle ne tient pas compte d’une éventuelle utilisation de carburant de synthèse « neutre » en CO2 et pauvre en soufre (donc moins de NOx).

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