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Premier essai / Volkswagen Passat CC

Mercedes a tracé la voie avec la CLS, Volkswagen s'y engouffre et confirme que les constructeurs se lancent dans la création de niches de plus en plus étroites. C'est dans ce contexte qu'arrive la Passat CC.

On se souvient que Mercedes a ouvert la voie en matière de coupés 4 portes. La recette est connue: à partir d'une classique berline, on laisse la bride sur le cou à une équipe de designers pour affiner le profil, rendre la ligne de pavillon fuyante, incliner la lunette arrière... Bref, lui donner de faux airs de coupé.

La Passat CC est plus longue et plus large que la berline, mais avec une hauteur de 1,42 m, elle est plus basse. Au passage, ces nouvelles lignes, en plus d'être originales, sont responsables d'un Cx de 0,29. Lorsqu'on ouvre les portières à vitres affleurantes, on a d'emblée l'impression d'être à bord d'un coupé. Revers de la médaille: au moment de s'installer, il faut prendre garde à ne pas se cogner la tête. Toutefois, la CC de Volkswagen donne l'impression de se trouver dans un cocon.

Le «Coupé Confort» fait l'impasse sur les moteurs de base. L'entrée de gamme en essence est le 1.8 TSI de 160 ch, un 4 cylindres turbo soft bénéficiant d'une alimentation par injection directe. Viennent ensuite le bien connu 2.0 TFSI de 200 ch et enfin le V6, dont la cylindrée a été portée à 3,6 litres et qui développe 300 ch. En Diesel, c'est le nouveau 2.0 TDI, désormais doté d'une rampe commune, qui ouvre le bal. Il sera d'abord proposé en 140 ch (136 en Belgique), puis, un peu plus tard, en 170 ch. La boîte DSG sera proposée en option, dont la nouvelle à 7 rapports.

La CC repose sur le châssis des autres Passat, mais qui peut, ici, être équipé de l'amortissement piloté DCC à trois modes de fonctionnement. Une fois habitué à la position de conduite plus basse et à la surface vitrée réduite, on se sent bien dans cet habitacle qui respire la qualité. Le «modèle d'accès», avec son moteur à essence de 160 ch, nous a agréablement surpris: une voiture alerte, pas du tout sous-motorisée. La 2.0 TDI réalise aussi d'excellentes choses, malgré un nez un peu plus pesant et un moteur plus bruyant. Quant à la V6 à essence à transmission intégrale, elle nous a étonnés par sa frugalité mais déçus par une certaine lourdeur. La direction à assistance électrique présente un «toucher de route» un peu trop artificiel, tandis que le Lane Assist (qui signale la dérive par une forte impulsion dans le volant lorsque l'on quitte sa bande de circulation sans actionner le clignotant) ne nous a pas vraiment convaincus par ses réactions brusques.

Avec ce modèle de luxe, Volkswagen espère en tout cas faire mieux dans le segment du haut de gamme qu'avec la Phaeton ou l'éphémère Passat W8 de la génération précédente. La sauce prendra-telle? Tout dépendra, en définitive, dans ce nouveau segment des coupés-berlines, du niveau de luxe proposé et surtout du style. Et là, l'affaire semble clairement entendue... Mais pour juger de l'accueil que réservera le public à la Passat CC, il faudra attendre le 16 juin, date à laquelle elle débarquera dans les concessions.

Retrouvez l'essai complet dans le Moniteur automobile 1418 du 16 avril ou en .pdf (voir ci-dessous).

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