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Reportage / La Laponie en Mazda CX-5 (2) : 850 km de blanche pure

Rédigé par Alain Devos le 02-04-2019

Le millésime 2019 fait souffler un vent de fraîcheur sur le Mazda CX-5. Mais pas seulement, car l’engin doit nous mener du cap Nord au cercle polaire arctique sur un tronçon de plus de 850 km. Prêt(e)s ?

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Nous voilà enfin au coeur de notre périple lapon. Il est 6 h lorsque nous quittons notre tanière. La journée va être longue. Après quelques kilomètres qui nous permettent de rapidement nous (re)familiariser avec le CX-5, nous constatons que la neige est toujours bien présente. Mais qu’elle n’est pas fraîche. C’est un peu logique aussi : le printemps pointe le bout de son nez. Mais il sera de courte durée et c’est aussi ce qui explique que les habitants se font rares (et courageux) dans cette partie du pays. Un peu avant midi, nous atteignons la frontière finlandaise et là encore la neige continue de se raréfier. Certaines parties de la route sont même presque dégagées. Ce qui est bien entendu de nature à nous faciliter la tâche. Quoique : sur la route, il arrive fréquemment que les roues gauches roulent sur l’asphalte et les droites sur de la glace. Et ce n’est pas plus difficile, ce qui prouve manifestement l’efficacité du G-Vectoring Control.

Compétences requises

Si le G-Vectoring est un allié précieux, la transmission intégrale de même que les pneus cloutés apportent aussi leur pierre à l’édifice de la stabilité. Il est d’ailleurs même étonnant de constater de quoi une voiture pareillement équipée est capable, c’est bluffant. Mais à condition bien entendu que le conducteur sache toujours estimer les (ses) limites… Chapeau bas d’ailleurs en passant aux conducteurs locaux et aux chauffeurs de poids lourds en particulier qui gère à merveille l’étroitesse de la route et l’adhérence de leurs bahuts. En allant à pareille école, on comprend mieux pourquoi la Scandinavie produit autant d’excellents pilotes pour le sport automobile.



Un police amicale

Les limitations de vitesse en Europe du Nord sont « strictes » : il est interdit de dépasser 100 km/h, quel que soit le pays visité. Les contrôles sont réputés nombreux et peu tolérants tandis que les amendes sont particulièrement chères. Lorsque la vitesse excède les 30 km/h par rapport à la limite, il n’est pas rare de terminer au poste de police. Nous nous tenons donc à carreau sachant qu’un de nos collègues s’est fait attraper. Mais par chance, les représentants de la loi ont fait preuve cette fois de compréhension en conseillant de « restez prudent »…

Sur les pneus cloutés

On ne mentira pas : nous avons aussi dépassé les limitations de vitesse dans cette région reculée du globe. Il est arrivé – par inadvertance – que n’aguille du compte tour (numérique désormais) indique même 140 km/h. Impardonnable certes, d’autant que cette vitesse était atteinte sur une couche de glace. Oui, mais voilà : avec nos pneus cloutés si performants, c’est comme si on roulait sur de l’asphalte. Quelle efficacité car pour s’être arrêté de temps en temps, alors que nous nous promenions à pied, nous avons frôlé plusieurs fois le vol plané, même en ayant choisi nos meilleures chaussures d’aventurier !

Grand confort

Seul inconvénient de ces enveloppes cloutées :  le bruit beaucoup plus important, a fortiori sur les portions asphaltées. Pour ne pas arracher les clous, il faudrait d’ailleurs éviter le goudron. Mais nous n’avons pas le choix ici. La route est magnifique et les paysages grandioses et reposants pour l’esprit. Il faut dire que la sellerie du CX-5 nous invite aussi à la détente, également à l’arrière où il y a beaucoup de place pour les jambes et la tête. Le moteur se montre suffisamment réactif et discret et la suspension douce sur les irrégularités. Notons que le CX-5 reste aussi l’un des SUV les plus dynamiques qui soient. C’est d’ailleurs bien simple : question dynamique, il est équivalent à une toute bonne berline.

Mieux que le WLTP

Notre CX-5 était une version SkyActiv-D, donc un Diesel, qui nous fait regretter la chasse à ce type de carburant par les autorités. Car ce modèle est l’un des meilleurs qui soient, d’autant la consommation relevée au terme de notre essai est même inférieure aux valeurs officielles WLTP ! En Norvège, l'ordinateur de bord affichait une moyenne de 7,1 l/100 km, chiffre tombé à 5,9 l/100 km en Finlande et « rehaussé » à 6,3 l/100 km à notre arrivée en Suède. Que dire d’autre sinon qu’il s’agit d’un score remarquable pour un moteur d’une cylindrée de 2,2 litres qui doit convoyer 3 personnes et leurs bagages.

Luleå

Nous avons bouclé nos 850 km sans encombre, avec une bonne ambiance à bord et des images plein la tête. D’accord, nous aurons raté les aurores boréales. Mais qu’importante : nous en avons eu plein les yeux et, promis, nous reviendrons au cap Nord ou à Luleå, que ce soit au volant d’une CX-5 ou non. Car l’aventure, c’est l’aventure !

Retrouvez la première partie de notre périple ici

Facebook: @alain.devos.18 / Twitter: @devos_alain / Instagram: @adevos12

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