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Premier essai / Audi RS5 TDI

Audi a conçu un Diesel sportif suralimenté par deux turbos boostés par un compresseur électrique. Une usine à gaz expérimentale que nous avons pu tester, enrobée d’un châssis de RS5.

Audi RS5 TDI #1

Cet été, Audi célèbre les 25 ans du moteur TDI. Le premier bloc Diesel frappé de ces trois lettres a été monté en 1989 sous le capot de l’Audi 100: il s’agissait d’un 2.5 litres turbo à 5 cylindres, alimenté par injection directe et délivrant 120 ch et 265 Nm. Soit les valeurs d’un bon 1.6 Diesel d’aujourd’hui… C’est qu’avec le temps, Audi et ses concurrents ont fortement fait progresser le rendement du moteur Diesel qui, selon les dirigeants de la marque aux anneaux, a encore de beaux jours devant lui.
Car tous les spécialistes le répètent: l’avenir sera multicarburant. Le moteur à combustion interne (alimenté par des carburants fossiles ou alternatifs) partagera la route avec des propulseurs hybrides (y compris rechargeables sur le secteur) et électriques, en attendant l’arrivée de la voiture électrique alimentée par hydrogène (via une pile à combustible). Mais dans l’immédiat, le moteur thermique restera majoritaire. Et Audi estime que l’évolution des techniques de suralimentation contribuera à améliorer le rendement des moteurs, tant à essence que Diesel.

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