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Industrie et économie / Pollution : Mercedes aussi dans le collimateur

Rédigé par David Leclercq le 29-01-2016

Aucune accusation n’a encore été portée, mais la commission d’enquête menée par Ségolène Royal en France a demandé des explications à Mercedes. En attendant Opel et Ford…

Sans qu’aucune accusation n’aie été portée, la commission d’enquête visant à examiner les émissions polluantes des véhicules en France (sous Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie) a cette fois demandé des explications à Mercedes, suite à des tests. Après le scandale Volkswagen et les explications demandées à Renault, c’est donc la marque allemande qui se trouve aujourd’hui sous les feux de la rampe. Et ce n’est pas fini : Opel et Ford sont les prochains sur la liste. Ils seront auditionnés le 10 février prochain. Un porte-parole de la marque a expliqué que des responsables de Stuttgart avaient déjà « discuté avec la commission des résultats des tests qui ont été menés sur deux de nos véhicules ».

Pas de logiciel truqueur

« Nous réfutons toute allégation selon laquelle nous aurions un logiciel permettant de détecter que l'on est sur un banc de test ou un logiciel de fraude » a d’emblée indiqué Mercedes. Et la marque a refusé de s’exprimer sur le contenu des discussions avec la commission « tant que la commission ne rend pas publics » les résultats. Des sources proches du dossier ont indiqué à certains membres de la presse que les tests avaient portés sur une Classe S et qu’ils avaient mis au jour des importantes différences d'émissions entre le moment où « le moteur est froid et celui où il est chaud ».

Quoi de plus normal ?

On peut à nouveau s’interroger sur l’aspect scientifique de ces tests menés par la commission française. Car il semble évident que les mesures de normes sont prises pendant la phase de démarrage du moteur et un peu après. Ce qui implique donc un mode de fonctionnement spécifique (froid) qui ne sera pas tenu de manière linéaire au fur et à mesure que la température du moteur augmente. Et c’est d’ailleurs parfaitement légal. Bref, il semble une fois de plus que les autorités n’ont toujours pas compris de quoi il en retournait exactement. Et que des tests menés au hasard de manière empirique ne signifient en réalité rien du tout. En tous cas s’il n’y a pas de protocole clair et strict mis en place.

 

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