Suzuki

Suzuki Ignis

Ce SUV à taille de guêpe est pour le moins original, tant par son gabarit que par son look. Le modèle date de 2017, mais il a reçu quelques évolutions en 2020 qui se sont traduites par une nouvelle calandre, d’autres instruments (toujours analogiques) et un équipement plus moderne. Les assises implantées haut facilitent l’accès à bord. Mais à l’intérieur, c’est le règne des plastiques durs. L’habitacle n’est donc pas très cossu, mais il est pratique: les espaces de rangement sont nombreux et l’habitabilité très bonne au regard du petit gabarit. Une banquette coulissante et inclinable, divisée en deux parties, est même proposée. Mais l’Ignis ne peut alors plus embarquer que 4 passagers, contre 5 avec la banquette classique. Sous le capot, pas de Diesel mais un unique moteur à essence: le 1.2 atmosphérique de 83 ch (avec micro-hybridation), associé à une boîte 5 manuelle ou une automatique à variation continue. Une transmission intégrale est également proposée, mais uniquement associée à la boîte manuelle. En action, le moteur se montre plaisant et le châssis est polyvalent et sain. La suspension digère bien les petites irrégularités du revêtement, mais moins les grosses. À noter qu’un système de freinage automatique d’urgence est disponible: ce dernier détecte non seulement les voitures, mais aussi les piétons. Pétillante, tant à vivre qu’à conduire, la petite Ignis séduit, malgré un style controversé. Ce micro-SUV est également pratique et habitable, et son unique moteur à essence se montre volontaire. Reste que le prix nous semble franchement élevé…

Suzuki Ignis

Ce SUV à taille de guêpe est pour le moins original, tant par son gabarit que par son look. Le modèle date de 2017, mais il a reçu quelques évolutions en 2020 qui se sont traduites par une nouvelle calandre, d’autres instruments (toujours analogiques) et un équipement plus moderne. Les assises implantées haut facilitent l’accès à bord. Mais à l’intérieur, c’est le règne des plastiques durs. L’habitacle n’est donc pas très cossu, mais il est pratique: les espaces de rangement sont nombreux et l’habitabilité très bonne au regard du petit gabarit. Une banquette coulissante et inclinable, divisée en deux parties, est même proposée. Mais l’Ignis ne peut alors plus embarquer que 4 passagers, contre 5 avec la banquette classique. Sous le capot, pas de Diesel mais un unique moteur à essence: le 1.2 atmosphérique de 83 ch (avec micro-hybridation), associé à une boîte 5 manuelle ou une automatique à variation continue. Une transmission intégrale est également proposée, mais uniquement associée à la boîte manuelle. En action, le moteur se montre plaisant et le châssis est polyvalent et sain. La suspension digère bien les petites irrégularités du revêtement, mais moins les grosses. À noter qu’un système de freinage automatique d’urgence est disponible: ce dernier détecte non seulement les voitures, mais aussi les piétons. Pétillante, tant à vivre qu’à conduire, la petite Ignis séduit, malgré un style controversé. Ce micro-SUV est également pratique et habitable, et son unique moteur à essence se montre volontaire. Reste que le prix nous semble franchement élevé…