Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Votre compte Facebook n'est pas lié à un compte sur notre site. Veuillez vous inscrire au préalable

Si vous venez de vous inscrire avec Facebook, merci de recharger la page dans quelques instants, le temps que votre inscription soit totalement activée.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / Fiat 500L Twinair Turbo & Multijet II 105

Lorsque la 500L fut lancée il y a 5 mois avec des moteurs de 85 et 95 ch, la presse fut d'avis que c'était un peu light... La voici désormais disponible en 105 ch aussi, essence comme Diesel. È più giusto ?

Prix
NC

Près de 6 ans après la 500, la City Lounge - le surnom de la 500L donné par le marketing de la marque turinoise - s'apprête à être la deuxième Fiat la mieux vendue, avec une capacité de production de 600 véhicules par jour. Lancée en 1.4 à essence (95 ch) et 1.3 JTD (85 ch), la 500L est désormais disponible avec 105 ch suralimentés à essence (0.9 litre TwinAir Turbo) et Diesel (1.6 Multijet II). Outre le style gentillet de la 500 habilement suggéré par une silhouette boulotte, rappelons l'autre point fort de la «L»: son habitabilité et sa modularité. À peine plus longue qu'une Grande Punto ou qu'une Sedici, la 500L bat la Bravo de 1 cm sur l'empattement !

La 500L étrenne le Diesel 1.6 JTD avec une injection directe à rampe commune de 2e génération Multijet II et un plus petit turbo à géométrie fixe au lieu du turbocompresseur à géométrie variable. Le bicylindre à essence TwinAir Turbo gagne 20 ch (de 85 à 105), mais rien en couple (inchangé à 145 Nm au même régime de 2000 tr/min). Mais ça reste forcément un moteur turbo à injection indirecte qui, bien que sensiblement plus nerveux, pâtit toujours d'un turbo lag, de poussées en régime assez peu linéaires et d'un régime maxi (coupure) plutôt papy (5500 tr/min). Le corollaire de tout ça, c'est un «twin» au bourdonnement sympathique qu'il faut encore cravacher pour lui faire cracher tout son caractère.

Cette montée en puissance - tant en essence qu'en Diesel - permet surtout à la 500L de «tirer» pour la première fois une boîte mécanique à 6 rapports qui la rend plus spontanée en ville et lui permet de croiser plus paisiblement sur l'autoroute. Quitte à jouer du levier de vitesse entre les deux. Toujours en profitant d'une bonne insonorisation. È bene cosi.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1544 du 6 mars 2013.

Dans cet article : Fiat, Fiat 500L

Essais

Nos essais

Les concurrentes